Aparté 1 : La première fessée de Chloé
Tu te tiens debout face à lui, il est assis sur ton lit et tu n'oses croiser son regard.
Tu sais que dans quelques instants tu vas recevoir une fessée, ta première fessée. Si tu en as souvent été menacée, en tant que benjamine tu n'en as jamais reçue. En cet instant, tu te remémores l'événement qui t'as sans doute donné ou tout du moins exacerbé cette attirance, cette fascination pour la fessée. Cette correction qu'avait reçue ta cousine lors de vacances en famille l'été de vos 14 ans car vous aviez, toutes les deux, été prises à fumer. Elle avait endossé la responsabilité bien que tu en sois la coupable afin de t'éviter une privation de sortie, punition favorite de tes parents, gâchant la fin de vos vacances. Sa mère, adepte des méthodes traditionnelles, l'avait prise par la main et conduite dans sa chambre, le bruit des claques, ses sanglots, des sons qui résonnent encore dans ta tête et la vision de son derrière écarlate quand tu as pu la rejoindre sont longtemps restés graver dans ta mémoire. Vous en avez souvent reparlé faisant naître en toi cette envie, ce désir. Tu l'as d'ailleurs prévenue, un peu gênée, de ce qu'il allait se passer cette après-midi. Même si tu avais confiance en ce garçon cela te rassurait.
Tu sens sa main saisir la tienne, te ramenant brusquement dans le présent.
- "Il va être temps de payer pour toutes tes bêtises, Chloé, toutes ses fautes non assumées, ces provocations, ses procrastinations et je ne te parle pas de ça" dit-il en désignant un paquet de cigarettes sur la table de nuit. Tu peux m'expliquer, Chloé?"
Tu sens une étrange sensation dans ton ventre, tes jambes sont molles et le nœud de tes ballerines est soudainement devenu ton unique repère. Il te relève le menton et te regarde dans les yeux.
- "Une bonne fessée va te remettre les idées en place Chloé, une fessée que tu aurais dû recevoir depuis longtemps. A 26 ans quand on continue à se comporter comme une gamine on est punie comme telle!"
Tu tentes de bredouiller une excuse mais il ne t'en laisse pas le temps, tu te retrouves sur ses genoux la tête dans ton matelas. Il te remonte un peu et tu ne touches plus le sol que de la pointe de tes pieds. Il te demande doucement si ça va. Tu lui réponds en hochant la tête, sur l'instant tu penses être folle, toi, jeune femme brillante et indépendante, qui se retrouve dans la position infamante d'une sale gosse et ce en étant consentante!
Une première claque tombe sur ta jupe, tu sursautes mais tu t'attendais honnêtement à ce que cela fasse plus mal. Il te donne ainsi une vingtaine de claques, le stress de la situation commence doucement à se dissiper. Tu attrapes l'ours sur ton oreiller et le gardes près de toi, ce qui le fait sourire. Il soulève ta jupe et fait glisser ses doigts sur tes collants, tu frissonnes légèrement et la fessée reprend. Le bruit est maintenant plus caractéristique et se rapproche de tes souvenirs, les coups se font aussi plus piquants. Tu sens une chaleur t'envahir et tu te sens étrangement bien, relâchée. Il alterne fesse droite, fesse gauche pendant quelques instants et marque une pause. Il dégrafe ta jupe et tu sens ses doigts s'insinuer sous ton collant et ta petite culotte et tes fesses se dénuder. Tu réalises soudain que vas prendre une fessée déculottée, tu sens la honte t'envahir, tes joues s'empourprent mais la situation ne te laisse pas totalement indifférente. Ton collant et ton sous vêtement glissent le long de tes jambes. Il les soulève, enlève tes ballerines et tu te retrouves nue à partir de la taille.
- "C'est maintenant que commence la vraie fessée, même à 26 ans Chloé, une fessée se donne les fesses nues! J'espère que cela te fera réfléchir et grandir un peu. Il est quand même dommage d'en arriver là à ton âge! Tu imagines si les gens te voyaient ainsi en train de prendre une bonne déculottée comme une sale gamine!"
Il réajuste un peu ta position, tu l'aides un peu en remontant. Tu sens sa main se poser sur tes fesses, tu agrippes plus fort ton ours et serres les dents. Sa main se lève et tombe sur tes fesses, tu laisses échapper un petit cri. Il marque un léger arrêt et te regarde. C'est bien plus douloureux sans toutes ces protections, mais tu l'as décidé et après tout c'est vrai que tu l'as bien méritée. Tu ne dis rien et il poursuit la fessée sur un rythme de métronome du bas des reins au haut des cuisses, tu sens comme des millions de petites piqûres sur tes fesses diffusant leur chaleur vers ton bas ventre. Tu commences à te tortiller et à gigoter sous les coups tout en sentant une sorte d'apaisement intérieur, une situation nouvelle pour toi que tu ne comprends pas très bien. Une partie de toi a envie de hurler et de fuir mais une autre de se laisser aller de soumettre.
Le bruit des claques résonne dans ta tête te ramenant une dizaine d'année en arrière, tu imagines que tes fesses doivent être d'un rouge flamboyant tant elles te chauffent. Tu sens ton sexe s'ouvrir légèrement et devenir humide, tu décides de plus essayer d'analyser la situation et de t'abandonner à la correction. Le ballet des claques continue quelques minutes et la fessée cesse comme elle avait commencée. Il te passe la main dans les cheveux et s'assure que tu vas bien, tu acquisses en lui souriant. Il t'aide à te relever, tu es un peu chancelante et comme ailleurs. Il te le dira plus tard mais il voulait t'envoyer au coin mais il s'est ravisé de peur que tu ne tombes.
- "Très bien Chloé, j'espère que cette fessée t'a servi de leçon! Mais nous n'en avons pas totalement fini. Il reste ce problème de paquet de cigarettes, non pas que je t'interdise de fumer mais le laisser là bien en évidence surtout après l'histoire que tu m'as racontée, j'appelle ça de la provocation! Alors tu vas t'asseoir là sur ton lit et y réfléchir un peu les mains sur la tête."
Tu t'assieds en prenant bien soin de serer les jambes afin qu'il n'aperçoive pas ton trouble et mets tes mains sur la tête. Il te caresse la joue, dépose ton ours sur tes genoux et quitte la pièce. La honte et le ridicule de la situation, t'excitent légèrement et tu meurs d'envie de voir l'état de fesses, te penches en avant pour voir ce qu'il se passe et te diriges furtivement vers le miroir. Tu les observes, elles sont d'un beau rouge uniforme. Tu t'attendais à ce qu'elles soient plus marquées vu comment elles te brûlent. Tu regagnes ta place sans avoir remarqué que tu étais observée. Il attend quelques instants avant de faire sa réapparition.
- "La couleur convient à Mademoiselle? Moi je pense qu'elles devraient être beaucoup plus rouges! Une jeune fille qui vient d'être punie, qui attend une autre punition et qui désobéit c'est que sa correction n'a pas été assez sévère, tu ne penses pas Chloé?"
- "Oui mais…" dis-tu ton visage s'empourprant comme tes fesses
- "Oui mais tu aurais pu attendre 5 minutes et tu dois apprendre à ne pas en faire qu'à ta tête Chloé"
Tu baisses les yeux en serrant fort ton ours. Il se saisit d'une belle brosse en bois qui était à côté du paquet de cigarette et en jauge la sévérité en la tapant sur la paume de sa main.
- "Je vois que tu avais tout prévu, allez viens par ici!" dit-il en s'asseyant sur le lit.
Tu reprends ta position un peu craintive, il te passe la main sur les fesses doucement puis saisit ta main et la serre dans la sienne. Tu sens le contact du bois sur ta peau bientôt suivi d'une intense douleur, la sensation est beaucoup plus lourde plus sourde que la fessée manuelle surtout sur des chaires déjà malmenées. Les frappes sont lentes et espacées te laissant le temps de les appréhender. Tu encaisses les coups stoïquement même si cela t'est difficile et commences doucement à apprivoiser le concept douleur-plaisir. Il te donne une vingtaine de coups puis te frictionne les fesses pour dissiper la chaleur.
- "Ça c'est pour les cigarettes, Chloé!" dit-il en continuant à lui masser les fesses.
Tes fesses sont un peu douloureuses mais son massage les apaise grandement, tu sais qu'il reste sans doute encore une partie mais tu es désormais prête à totalement t'abandonner. Il te regarde, regarde tes fesses, te regarde de nouveau et reprend ta main. Il a posé la brosse et se met à claquer tes fesses de façon vive et rapide. Tu gigotes dans tous les sens, dévoilant impudiquement ton intimité. Les émotions accumulées et la douleur te font monter les larmes et tu éclates bientôt en sanglots. Il cesse la fessée, te caresse doucement les cheveux et t'assied sur ses genoux en te frictionnant le dos. Tu restes ainsi enlacée de longues minutes puis te lèves en lui déposant un baiser sur la joue.
Tu enfiles juste ta jupe et tes ballerines et te recoiffes avec la brosse qui a meurtri tes fesses, vous vous rendez dans le salon où vous discutez de tes impressions autour d'un café et fixez un autre rendez-vous une dizaine de jour après. Vous vous quittez et tu pars regarder tes fesses avec un léger émoi. Tu souris en te disant : "tu es un peu folle quand même ma fille!"
Tu appelles ensuite Camille qui attendait au café au coin de la rue. Elle te rejoint. Tu soulèves ta jupe lui dévoilant tes rougeurs.
- "Voilà, dix ans après justice est faite!"
Vous riez et bavardez gaiment toutes les deux en vous remémorant le passé et vous faisant quelques confidences.
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