XXVI : Une soirée, deux fessées

 

Ce soir Nicolas était rentré un peu plus tard du travail. A son retour il trouva Camille avec sa mine des mauvais jours. Bien qu'il soit seulement 19h elle s'était déjà mise en pyjama et regardait un dessin animé tout en mangeant de la glace. Il la salua et lui déposa un baiser sur la joue. Camille, absorbée par le Roi Lion, ne lui répondit pas. Quelque peu attendri par le comportement enfantin de son amie, il ne lui en tint pas rigueur et partit mettre une tenue plus confortable. Il se servit un whisky et lui demanda si elle voulait boire quelque chose. Elle ne lui répondit de nouveau pas.

  - "Tu vas m'ignorer longtemps encore, Camille" demanda-t-il légèrement irrité.

  - "Mais je regarde un Disney!" lui répondit-elle sur un ton agacé.

  - "Ça ne t'empêche pas d'être polie et si tu as un souci tu m'en parles!"

  - "Oui oui" lui répondit-elle évasivement.

Nicolas qui savait très bien comment tout cela allait finir, bût son verre tout en répondant à quelques messages et observant sa belle du coin de l'œil.  Une fois le film terminé, il se leva pour éteindre la télé et se plaça devant elle.

  - "Bon Camille, maintenant que c'est fini, tu vas me dire ce qu'il ne va pas. Parce que quand je te vois comme ça, je te connais, je sais qu'il y a un souci."

Au fil des années elle avait appris à dompter un peu sa nature secrète et sauvage mais là le problème avait pris trop d'importance à ses yeux et elle retomba dans ses vieux démons.

  - "Mais non rien, arrête de m'embêter!"

  - "T'embêter!" répliqua-t-il en la regardant dans les yeux.

Elle baissa les yeux, il la saisit par la main pour la relever et l'entraîna dans la chambre. Il s'assit sur le lit et lui baissa d'un coup sec son bas de pyjama.

  - "Tu n'as toujours rien à me dire, Camille?"

Elle levait nerveusement ses orteils, contemplant son verni, honteuse et à la fois troublée de se retrouver encore dans cette position. Elle aurait pu parler mais c'était plus fort qu'elle…

  - "Une bonne fessée, je suis sûr que ça va te rafraîchir les idées! Et au moins j'aurais l'impression de servir à quelque chose là!"

Jeune femme fessée en pyjama dans sa chambre (women otk spanked in pajama)

 Joignant le geste à la parole, il l'allongea sur ses genoux. Il commença directement la fessée sur un rythme de métronome, n'épargnant aucune zone des fesses de la pauvre Camille, qui prirent rapidement une belle teinte rouge. Ses jambes se tortillaient faisant choir sa culotte au sol, elle en avait déjà reçu des fessées mais des comme ça rarement. Elle serrait les dents en sentait la transpiration perler dans son cou, par réflexe elle tenta d'interposer sa main mais il s'en saisit et poursuivit sa valse de claques. Les endorphines faisant leur effet, au fur et à mesure de la correction elle se sentait de plus en plus relâchée et se mit bientôt à pleurer. Nicolas cessa alors le châtiment et frictionna les fesses endolories de son amie. Camille resta ainsi quelques instants à pleurer, la punition qui lui avait semblé durer une heure n'avait en réalité durer que quelques minutes et les picotements commençaient à s'estomper. Une fois calmée, elle se releva mais encore légèrement chancelante, elle décida de reporter l'opération re-culottage à plus tard. Elle s'assit sur les genoux de son chéri et l'embrassa tendrement. Il lui caressa les cheveux et l'étreignit comme on pourrait étreindre un enfant pour le rassurer.

  - "Je me suis disputée avec Laure et je l'ai un peu grondée aussi…" Elle marqua une pause.  

  - "Et un peu disputée avec toi aussi…" dit-elle d'une petite voix.

  - "Je suis sûr qu'elle t'a déjà pardonnée et si tu l'as grondée c'est qu'il devait avoir une bonne raison!"

  - "Oui pour ses études pour pas qu'elle se démotive, mais je n'aime pas me disputer surtout avec les gens que j'aime… Tu sais à quel point ça me ronge…"

Ils restèrent ainsi enlacés un moment, sans rien dire .

  - "Rafraîchis-toi un peu, je vais faire à manger."

Camille se leva et porta sa main à ses fesses, elles avaient bien refroidi et n'étaient plus que légèrement rouges bien loin de la raclée mémorable qu'elle s'imaginait avoir prise.  Elle s'assit un moment, toujours aussi surprise de comment ses émotions pouvaient jouer sur son ressenti puis prit une douche rapide, changea de pyjama et mit des chaussettes. Elle alla ensuite dans l'armoire et déposa le martinet sur le lit avec un sourire malicieux bien décidée à ne pas en rester là.

Elle rejoint ensuite Nicolas au salon et regarda son téléphone.

19h32 Laure : "Tu avais raison Camille, je te remercie. Bisous. PS : j'espère que tu ne t'es pas trop contrariée à cause de notre conversation ☹ "

Elle répondit puis alla montrer le message.

  - "Tu avais raison, Nicolas"

Il sourit.

  - "Et si tu avais regardé ton téléphone au lieu de faire l'huître ça t'aurait éviter des ennuis"

Camille rougit, il lui servit le repas réconfortant par excellence des coquillettes au jambon.

Une fois le dîner fini, elle débarrassa. Nicolas s'assit dans le canapé et bût un café en fumant une cigarette. Elle s'approcha et lui prit la main.

  - "Dis tu sais, ben je crois que…" dit-elle d'une petite voix en jouant nerveusement avec ses cheveux.

Il glissa sa main sous pyjama et se mit à lui frotter les fesses.

  - "Oui je t'écoute Camille, tu crois que?"

  - "Viens!" dit-elle en le tirant afin d'éluder le problème.

Il la suivit tout en gardant sa main dans sa culotte et y jouant avec ses doigts. Il découvrit le martinet, sans surprise, se doutant bien que la précédente fessée n'aurait pas suffi à sa belle.

  - "Alors Camille, que crois-tu? Qu'il est l'heure d'épousseter les coussins avec ce martinet?"

  - "Mais non, je pensais plus, parce que je n'ai pas été hyper agréable, à une autre…"

  - "Ça c'est sûr tu n'as pas été très agréable, en plus tu as encore nié un problème au lieu d'en parler… Je crois aussi qu'il te faudrait une autre mais une autre quoi, Camille?"

  - "Tu ne lâcheras pas hein vilain!"

  - "C'est toi la vilaine regarde tu as encore tes fesses roses!" dit-il en lui baissant son pyjama.

Camille rougit et commençait à être troublée par la situation.

  - "Je crois que je mérite une autre fessée…" dit-elle à voix basse.

  - "Je crois aussi!" 

 

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Sans lui laisser le temps de réfléchir il la courba sur son bras et se mit à lui caresser les fesses. Il alterna rapidement avec des claques plus douces que lors de la précédente fessée. Lorsque que son derrière atteignit une couleur satisfaisante, il lui retira complétement son bas de pyjama et sa veste. Il la fit se mettre à quatre pattes sur le lit et posa sa main sur son entrejambe. La fessée lui avait visiblement fait de l'effet. Il lui donna alors une série de petites claques couvrant bien toute sa vulve. Camille surprise poussa un petit cri de surprise et son trouble augmenta encore d'un cran. Il exerçait maintenant un mouvement de va-et-vient sur son clitoris, la poussant au bord de la jouissance. Elle tourna alors la tête vers le martinet, Nicolas comprit le message et s'en saisit. Il déposa deux oreillers sous le ventre de son amie et l'allongea dessus puis il se mit à la fouetter. Les coups étaient lents et espacés, donnés avec une force suffisante afin qu'elle puisse bien les ressentir. Au bout d'une vingtaine de coups son derrière était redevenu aussi rouge qu'il y a deux heures. Il marqua une pause, la regarda et introduisit un doigt dans son sexe. Il la masturba de nouveau et repris le martinet. Il la fouettait désormais de manière plus désordonnée donnant tantôt des coups forts et des séries rapides de plus légers. Camille, au bord de la transe, s'agitait et gémissait, il déposa le martinet s'allonge près d'elle et l'embrassa langoureusement. Ils s'enlacèrent alors et firent l'amour passionnément. Épuisée par les émotions tant physiques que mentales, elle s'endormit sur le lit sans même se rhabiller. Nicolas la couvrit d'une couette qu'il prit dans le placard, l'embrassa sur le front.

  - "Des comme toi, il n'y en a pas deux!" lui glissât-il tendrement à l'oreille.

Il la rejoint quelques temps plus tard et s'endormit tout aussi paisiblement. 

Crédit : Zak Ato flickr

 


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