XXIX : L’excès de vitesse

 


– “Camille, tu peux venir ici 5 minutes, s’il te plait?” lança Nicolas depuis le bureau.

– “Pourquoiiiiiii?” répondit-elle stoppant sa partie de jeu vidéo.

– “Il faut que je te montre quelque chose…”

– “Tout de suite? Je joue!”

– “Oui tout de suite, Camille!” répondit-il avec une légère impatience.

Elle se leva et se dirigea vers le bureau à la fois curieuse et inquiète. Elle se tapota machinalement les fesses en passant devant le miroir et pénétra dans la pièce où elle trouva son chéri une feuille à la main et visiblement irrité.

– “Tu peux m’expliquer ces 45€ de débit pour le centre amende sur notre compte, Camille?”

Elle baissa les yeux et sentit une goutte de sueur perler sur sa nuque.

Si elle détestait conduire en ville, Camille aimait beaucoup faire des balades en voiture sur les routes de campagne de sa région natale. Elle avait hérité de la BMW Z3 de son oncle, qu’elle laissait chez ses parents et ils s’en servaient quand ils passaient le weekend dans la région. Bien que prudente, elle avait tendance à rouler un peu vite ce qui lui avait déjà causé quelques ennuis tant avec la police qu’avec Nicolas. Elle avait passé, au début du mois, quelques jours seule en famille et s’était faite arrêtée pour un petit excès de vitesse, elle avait réglé la contravention sur le champ et avait même plaisanté avec le policier sur le fait que son chéri ne soit pas là sinon elle se serait faite grondée.

La scène lui revint en mémoire, elle pensait avoir payé avec sa carte et s’en tirer à bon compte mais là elle était prise au piège, honteuse de s’être fait prendre mais surtout d’avoir menti…

– “Alors je t’écoute, Camille, on ne va pas y passez l’après-midi!”

– “J’ai eu un PV en Normandie…” dit-elle à voix basse.

– “Un PV et tu as “oublié” de m’en parler c’est ça, Camille?” dit-il d’un ton sarcastique.

– “Oui…”

– “Et pourquoi tu as ce PV, Camille?”

– “J’ai roulé un peu vite…”

– “Tu veux dire “j’ai encore roulé un peu vite””

– “Oui…”

– “Tu te rappelles la discussion que nous avons eu à ce sujet, sur la sécurité, sur ta sécurité, les conséquences que ça peut avoir même si je sais que tu ne fais pas totalement n’importe quoi il va falloir que tu fasses plus attention, jeune fille! Que tu grandisses un peu! Vu que tu n’as visiblement pas encore compris de tes erreurs et qu’en plus tu tentes de les cacher comme une collégienne qui a eu une mauvaise note, tu te doutes de ce qui va t’arriver, Camille?”

“Oui…” dit-elle en posant ses mains sur ses fesses.

Elle regardait le bout de ses chaussettes totalement décontenancée par la soudaineté dont elle était passée au stade d’une petite fille en train de se faire grondée et qui allait être punie, mais aussi encore et toujours par les émotions que ça faisait naître en elle.

– “Je vais recevoir une fessée” bredouilla-t-elle.

– “Non pas une fessée!”

Elle releva la tête et regarda Nicolas interrogative.

– “Deux fessée, une maintenant pour avoir menti et t’être comporté comme une gamine et une ce soir, dont tu connais le barème décidé ensemble, pour ta conduite Sébastien Loeb!”

Elle hocha la tête en silence bien consciente qu’elle méritait amplement cette correction et que ça apaisera ce petit remord qui trottait dans le fond de sa tête. Elle se sentait même un peu stupide d’avoir menti car il se montrait toujours juste dans ses décisions quand il s’agissait de vraies punitions.

– “Va te mettre en pyjama et revient ici avec ta contravention.” Dit-il d’un ton n’appelant à aucune contestation.

Elle se dirigea dans la chambre, se dévêtit, constata avec émoi l’effet du sermon de son chéri sur sa culotte, elle passa par la salle de bain se rafraichir, enfila un pyjama à veste en vichy rose et constata honteusement qu’il était 14h45. Elle retourna dans le salon chercher l’amende dans son sac, marqua un arrêt devant le miroir et baissa légèrement son pyjama afin de constater la blancheur de ses fesses puis revint dans le bureau avec une petite boule au ventre. Il avait disposé sa chaise devant les miroirs de danse et lui fit signe d’approcher. Sans lui laisser le temps de réagir il lui descendit son pyjama et elle se retrouva les fesses à l’air sur ses genoux. Toujours la feuille à la main elle se réajusta, troublée par sa vision dans le miroir.

– “Alors combien Mlle Senna?”

– “98 vitesse retenue”

– “Tu peux donc préparer tes fesses pour 40 coups de ceinture, ce soir! Mais nous avons une autre affaire à régler là tout de suite, tu sais pourtant que tu peux tout me dire Camille! Ai-je déjà été injuste envers toi? N’essaye-je pas de faire que tu ailles le mieux possible? De t’aider quand je peux?”

– “Si” répondit-elle laissant s’échapper une larme de culpabilité.

– “Alors pourquoi tu n’as rien dit?”

woman spanked in pajama fille fessée en pyjama

 

Ne voulant l’accabler davantage il commença à la fesser méthodiquement fesse droite, fesse gauche de sa chute de reins au haut délicat de ses cuisses sans discontinuer avec une force raisonnable mais suffisante pour faire rougir rapidement la croupe de sa belle. La chaleur envahissait progressivement son arrière-train et la brûlure devenait de plus en plus soutenue au fur et à mesure qu’avançait la fessée. Elle tourna la tête et constata qu’il était écarlate, elle se mit à s’agiter, tenta de se protéger mais il saisit sa main et ne faiblit pas. La correction continuait implacable, la douleur de plus en plus forte associée à un sentiment d’apaisement lui fit monter les larmes aux yeux. Son pyjama avait quitté ses pieds, son rythme cardiaque augmentait et elle sentait de la sueur perler sur son corps. C’était une vraie correction en règle. Elle repensa à sa déception d’avoir menti et sans doute celle de Nicolas et éclata en sanglot. La fessée se poursuivit encore quelques instants puis les claques se turent. Camille, vidée, pleurait restant sur ses genoux. Il lui massait la nuque pour l’aider à reprendre ses esprits, elle se releva finalement après de longues minutes, les yeux embués de larme. Il lui passa la main dans les cheveux et la prit par la main. Il la conduisit face au miroir. Camille constata dans le reflet que ses fesses étaient cramoisies, elle entreprit de les frotter mais Nicolas saisit ses mains et les plaça sur sa tête.

woman looks at her red bottom in the mirror

 

– “Tu vas réfléchir un peu comme ça à ta conduite enfin tes conduites devrais-je dire et quand tu seras prête tu viendras me voir, il me semble que tu as quelque chose à présenter!”

Il se remit à l’ordinateur en la surveillant du coin de l’œil. Présenter des excuses avait toujours été difficile pour Camille, d’une part elle était assez timide et c’était comme un aveu de faiblesse. Surmonter le jugement, sa honte… Mais au fil des années, elle avait, avec Nicolas, appris à se surmonter dans ce domaine surtout lorsqu’elle s’en voulait réellement. Elle reprit donc quelques minutes ses esprits, sécha ses larmes, ramassa son pyjama et tapota sur l’épaule de son chéri.

– “Oui Camille?”

– “Je te présente mes excuses pour ne t’avoir pas dit que j’ai eu un PV.” Dit-elle d’une petite voix presque enfantine.

Il lui releva le menton et lui déposa un baiser sur la joue en la remerciant.

Il lui prit ensuite la main et la conduisit dans la chambre.

– “Je vais te mettre de la crème, repose-toi puis on ira faire des courses, et n’oublie pas tu as encore une fessée qui t’attends!”

Elle s’allongea sur le ventre, il déposa deux noisettes de baume sur ses globes rubiconds et les massa tendrement. Il lui enfila ensuite son bas de pyjama et elle s’endormit rapidement. Elle se réveilla environ une heure plus tard, passa par la salle bain puis rejoint Nicolas au salon. Elle lui sourit.

– “Ma sale gosse est réveillée, j’allais justement venir te voir!”

Encore légèrement endormie elle répondit en l’embrassant. Il se leva et entreprit de la déshabiller.

– “Je vais m’occuper de toi sinon je sens que nous allons partir quand les magasins seront fermés!”

Elle se laissa faire avec un regard mutin. Il la prit par la main et l’emmena vers la chambre marquant une pause devant le miroir lui faisant constater que ses fesses avaient presque retrouver leur blancheur originelle. Il lui donna une petite tape et ils reprirent leur route. Il la laissa devant le lit, resplendissante dans sa nudité. Il attrapa une lingette pour bébé et la rafraîchit insistant bien sur son intimité en se mettant à sa hauteur, lui fit lever les bras et l’aspergea de déodorant. Il lui enfila ensuite une petite culotte blanche coordonnée à un débardeur petit bateau, lui mit ensuite une jupe patineuse noire, des petites socquettes blanches ainsi qu’une paire de babies Repetto vernies. Il partit finalement chercher sa veste Levi’s en jean brut. Il l’invita ensuite à s’asseoir pour la coiffer, la fessée et la sieste la faisant plus ressembler à une hippie qu’à une petite fille sage. Une fois sa chevelure arrangée, il mit un peu de “Jardin sur le Nil” derrière son oreille et s’en parfuma également.

Ils partirent ensuite faire les courses dans une épicerie du quartier.

– “Ne touche pas à tout comme d’habitude, Camille, si tu ne veux pas aggraver ton cas” lui dit-il en entrant dans le magasin.

Elle piqua un fard et les achats se firent silencieusement et sereinement. De retour à l’appartement, ils rangèrent les provisions. Nicolas vaqua à ses occupations et Camille resta au milieu de la cuisine, songeuse. Elle était parfois un peu désorientée dans ses moments où elle savait qu’elle allait avoir une fessée, Il lui ramena sa manette de switch et elle partit jouer en souriant. Il l’appela ensuite pour dîner, il avait préparé un gratin de coquillettes au jambon, l’un de ses petits pêchers mignons. Ils mangèrent tout en discutant de tout et de rien. Le repas terminé, il demanda à Camille de laver la vaisselle et de le rejoindre dans la chambre. Elle lui sourit timidement, elle nettoya la cuisine tout en pensant à la ceinture qui l’attendait… Elle retira sa veste et ses chaussures et se rendit dans la chambre. Il avait disposé deux oreillers au milieu du lit, elle retira sa jupe et s’installa.

bad women is strapped on the bed

 

– “Je vois que tu ne rechignes pas, Camille! C’est bien tu acceptes ta punition comme une grande fille! Tu sais que c’est pour ton bien, ta sécurité et celle des autres personnes! Surtout que ce n’est pas la première fois. Comme je te le disais tout à l’heure nous en avons déjà discuté et tu savais à quoi t’en tenir! Tu es prête?”

– “Oui je suis prête!” dit-elle à voix basse.

Elle sentit les doigts de Nicolas s’insinuer sous l’élastique de sa petite culotte, elle souleva le bassin et il lui retira complétement. Elle entendit ensuite le cliquetis de la boucle, puis le frisement du cuir dans les passants et enfin la ceinture se poser sur ses fesses. Un frisson lui parcouru l’échine lorsqu’elle sentit se lever dans l’air l’instrument de sa correction. Ses fesses encore sensibles de la fessée de l’après-midi, elle poussa un cri lorsqu’elle tomba sur sa croupe mais elle sera les poings et les dents, bien décidée à accepter la sentence avec dignité. Il la fouettait en espaçant les coups d’une vingtaine de secondes afin que chacun s’imprègne pleinement dans ses chairs dessinant un sillon rouge sur toute la largeur de ses fesses en essayant de les répartir au mieux. Il marqua une pause au vingtième, il lui caressa la nuque et lui frictionna les fesses afin de dissiper la chaleur puis reprit son ouvrage. Le cuir tombant sur des endroits déjà meurtris, la fessée devenait de plus en plus dur à supporter chaque cinglée agissant comme des milliers d’aiguillons. Elle commençait à gémir et se tortiller. Il aurait été facile pour Nicolas de la faire craquer mais admiratif de son courage il poursuivit simplement la correction à son terme. Ses fesses étaient d’un rouge soutenu avec quelques endroits légèrement violacés sur les flancs.

– “C’est fini, Camille” lui glissa-t-il doucement à l’oreille.

Elle se redressa, frictionna ses fesses puis le sera dans les bras.

– “Merci” lui dit-elle simplement.

– “Je vais te mettre ton pyjama, viens.”

Ils partirent dans la salle de bain, elle fit un petit pipi pendant qu’il faisait couler un fond d’eau. Il lui ôta son débardeur, elle contempla ses fesses dans le miroir.

– “Je m’attendais à pire, ça pique bien!”

– “Deux fessées, c’est ce qui arrive aux petites menteuses désobéissantes, lapin!”

– “Mais!” dit-elle en grimpant dans la baignoire.

Il la savonna tendrement, nettoyant méticuleusement son sexe et massant précautionneusement ses fesses. Il la rinça ensuite puis fit couler un peu d’eau fraîche sur ses fesses, voyant qu’elle commençait à avoir la chair de poule, il la fit sortir et la séchât. Il lui mit son haut de pyjama, elle l’aida à enfiler le bas puis la prit par la main. Il la mena dans la chambre et la bascula sur ses genoux et lui baissa d’un coup sec sa culotte.

– “Héééééé mais je n’ai rien fait!” s’écria-t-elle

Il rigola et déposa de la crème sur ses fesses.

– “J’ai eu peur, vilain!”

– “Je pense que tu en as eu assez aujourd’hui, mais qui sait demain!”

– “Oui qui sait mais je crois que je vais être sage quelques jours!”

Il finit de la masser, lui remit son pyjama et tous deux partirent joyeusement regarder un film.

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