XXX : Une séance de shopping mouvementée

Depuis quelques semaines, Camille était assez stressée, elle avait obtenu sa certification en italien mais sa nouvelle mission et les petits tracas qui vont avec l'accaparaient pas mal. Elle avait même dû ponctuellement renoncer à son mercredi, diverses réunions ne pouvant être placées que le matin de ce jour. Nicolas au contraire était plus disponible qu'à l'accoutumée et essayait de son mieux de seconder sa belle, gérant encore un peu plus son quotidien afin de l'aider à décompresser. Il s'était aussi montré un peu plus souple sur certains points non essentiels, tant et si bien qu'elle n'avait reçu qu'une fessée depuis un mois.

Ils avaient prévu de passer l'après-midi ensemble et elle se dirigeait vers le métro quand elle l'aperçut devant son bureau, appuyé sur sa voiture,  fumant une cigarette. Elle lui sourit et l'embrassa sur la joue, il lui rendit son baiser et lui ouvrit la porte. Ils se mirent ensuite en route.

  - "Où va-t-on ?" lui demanda-t-elle.

  - "Ça devrait te plaire, laisse-toi guider d'ailleurs donne-moi ton téléphone, tes cartes de crédits tu n'en auras plus besoin aujourd'hui!"

Camille ne se fit pas prier, éteignit son téléphone et lui tendit ainsi que son portefeuille. Elle aimait ces moments où elle était prise en charge comme un enfant, n'ayant plus rien à penser ni à décider, juste à se conformer au programme ou en subir les conséquences. Elle se sentit tout de suite plus légère. Ils s'arrêtèrent devant une petite trattoria où sa famille avait ses habitudes lorsqu'ils étaient à Paris.

  - "Ah bah ça c'est une surprise, ça fait au moins 6 mois!" s'écria-t-elle sans retenue.

Il sourit satisfait de son effet et ils pénétrèrent dans le restaurant. Il partit s'installer à leur table habituelle bientôt rejoint par sa chérie qui donnait des nouvelles de ses parents au patron.

  - "J'ai commandé pour toi : penne al ragu."

Camille qui ne comptait pas manger autre chose en ces lieux le remercia et ils bavardèrent en attendant les plats.

  - "Essaye de manger proprement!" lui dit-il lorsqu'arriva le serveur.

  - "Ce n'est pas gagné!" leur dit-il en rigolant.

Elle rougit un peu gênée et se concentra sur ses pâtes sous l'œil amusé de Nicolas.

  - "Toute propre!" dit-elle assez fière d'elle, un fois fini.

Il se leva lui essuya la bouche avec sa serviette et lui prit la main. Il paya et demanda deux tiramisus à emporter.

  - "Pour le goûter, maintenant je t'emmène faire du shopping! Je vais t'acheter un nouveau pyjama chaud, il commence à faire froid!"

  - "Et je pourrais avoir autre chose aussi hein s'il te plait?" dit-elle d'un ton charmeur.

  - "Oui mais une seule et tu ne commences pas à faire ton cinéma sinon…" dit-il en agitant la main.

  - "Promis!" dit-elle en arrivant devant le magasin Petit Bateau qui se trouvait à une rue du restaurant.

Ils entrèrent et il lui lâcha la main. Il lui choisit un pyjama en velours avec un bas marine et une marinière auquel il ajouta un semainier de culottes coordonnées. Il se dirigea ensuite vers Camille qui avait déjà quatre articles dans les mains.

   - "On n'avait pas dit un article, Camille? Tu n'avais pas promis?" dit-il en agitant la main

   - "Si mais regarde!" dit-elle d'une voix enfantine.

   - "Les culottes tu peux les ranger je t'ai pris les mêmes! Le gilet aussi, tu l'as, je l'ai vu en préparant tes habits cette semaine! Tu en as tellement que tu ne sais même plus ce que tu as!"

   - "Oui oui" lui répondit-elle en ronchonnant et en allant reposer les vêtements.

   - "Et maintenant tu te décides le pull ou le sweat!"

   - "Mais on ne peut pas prendre les deux!" dit-elle en bougonnant.

   - "A 100€ pièce je ne suis pas la banque de France! Tu reviendras une autre fois!"

   - "Oui mais…"

Camille passa le pull, puis le sweat puis de nouveau le pull passant d'un regard charmeur à celui de "petite fille la plus malheureuse du monde" afin de faire céder son chéri.

   - "On ne va pas y passer la journée, Camille! Je te prends le sweat et on reviendra!" dit-il en le prenant des mains de son amie et raccrochant le pull.

   - "Pffff t'es méchant" dit-elle en lui donnant une légère tape sur le bras.

   - "Tu vas voir si je suis méchant, je vais te donner une bonne raison de râler moi!"

Camille qui avait aussitôt regretté son geste se sentit prise par la main et emmenée vers la caisse, elle regardait le sol honteuse, persuadée que tout le monde était au courant qu'elle allait sans aucun doute recevoir une belle fessée. Il paya rapidement et ils s'engouffrèrent dans la voiture.

   - "Tu vas voir ce qui arrive aux petites demoiselles qui font des caprices dans les magasins, qui n'en ont jamais assez! Crois-moi, Camille, tu vas t'en souvenir de cette fessée! Tu pourras dire là que je suis méchant! Tu es beaucoup moins bavarde et vindicative là, tu n'as rien à dire?"

Elle n'en menait pas large et était vraiment en cet instant dans la peau d'une gamine de 10 ans qui allait être punie, un mélange d'angoisse, de honte et de culpabilité qui paradoxalement la troublait profondément. Le trajet se fit et en silence, Nicolas la regardant discrètement afin de mieux jauger son état. Ils se garèrent au parking de l'immeuble. Camille, visiblement peu pressée de voir ce qui l'attendait, trainait un peu. Il la prit par le bras et accéléra le pas. Une fois entrés dans l'appartement, il déposa les paquets, toujours en la tenant et ils se dirigèrent vers la chambre. Il s'assit sur le lit, déboutonna son jean et le fit glisser à ses pieds, il la regarda dans les yeux et insinua ses doigts sous l'élastique de sa petite culotte qui prit le même chemin. Connaissant son amie par cœur il savait qu'il fallait "frapper" fort.

 

   - "Tu n'as toujours rien à dire, Camille?"

Elle baissa les yeux, rougit à la vue de ses vêtements baissés, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Il se leva alors et la conduisit dans le coin et lui plaça les mains sur la tête.

   - "Réfléchis un peu à ton comportement, à tes mots, à la situation! Je reviens vite m'occuper de toi!" dit-il en quittant la pièce.

Elle entendait Nicolas s'activer dans le salon, puis la salle de bain, la machine démarrer. Un léger courant d'air frais venait caresser ses fesses, à la fois inquiète mais pressée d'en finir, d'être relâchée de cette pression, elle savait que cette fraîcheur allait bientôt se transformer en brasier ardent … Son souhait allait rapidement être exaucé, il s'assit là où il était une dizaine de minutes plus tôt.

   - "Aller viens ici." Dit-il d'un ton qui n'appelait à la contestation.

Camille le rejoint d'une démarche hésitante, entravé dans ses vêtements, lui rappelant un peu plus sa condition de sale gosse.

   - "Tu n'as toujours rien à dire?"

Elle savait pertinemment ce qu'il attendait mais en cet instant elle en était incapable.

   - "Non, et bien moi j'en ai des choses à te dire! Trouve-tu normal, alors que je suis aux petits soins pour toi, que je t'emmène au restaurant puis dans ton magasin préféré, que je te choisis des habits, de me dire que je suis méchant? Trouves-tu normal alors que tu as tout ce qu'il te faut de faire des caprices comme une gamine de 6 ans?"

Elle secoua la tête.

   - "Moi non plus Camille! Tu te doutes de ce qui va se passer?"

Elle hocha la tête.

   - "Et crois moi celle-là tu ne l'auras pas volée et j'espère que tu vas t'en rappeler un bon moment!" dit-il en l'allongeant sur ses genoux.

Camille poussa un léger soupir de soulagement tant la situation, l'attente l'avaient troublée aussi bien physiquement que psychologiquement. Il ajusta sa position afin que ses pieds ne touchent plus tout à fait le sol et commença la fessée par une série de claques assez fortes et espacées, méthodiquement réparties sur l'ensemble de son fessier. Elle encaissait stoïquement en serrant les dents, il marqua une pause lui frictionna les fesses et reprit la correction. Cette fois les claques étaient données un peu moins sévèrement mais de manière beaucoup plus désordonnée du bas du dos au haut des cuisses, il s'attardait parfois sur la même zone avant de reprendre en cadence l'empêchant de toute anticipation. Elle se mit rapidement à gigoter ses mocassins quittèrent ses pieds mais fermement maintenue du haut du corps elle n'avait aucune échappatoire. Ses chaires lui brûlaient de plus en plus surtout lorsqu'il frappait au niveau de la pliure des fesses et débordait allégrement sur ses cuisses, elle sentait la sueur perler dans son dos, la chaleur envahir son bas ventre et elle se mit à pleurer mais la fessée ne s'arrêta pas pour autant. Son jean rejoint ses chaussures au sol, le ballet de claques continuait implacable, elle pleurait désormais de manière totalement incontrôlée comme une enfant mais au fond d'elle sentait une sorte d'apaisement. Elle savait qu'elle n'avait qu'un "pardon" à dire entre deux sanglots pour que ça s'arrête mais une sorte de fierté et de défi vis-à-vis d'elle-même l'en empêchait pour le moment. Il cessa la fessée quelques secondes et lui donna une dizaine de très fortes claques qui lui donnèrent l'impression que de milliers d'aiguilles piquaient sa peau et stoppa la punition. Camille était en nage, totalement vidée, elle avait déjà reçu pas mal de fessées mais rarement de si intenses. Elle resta à pleurer sur ses genoux, il lui frotta énergiquement les fesses pour dissiper un peu la chaleur puis l'aida à se relever. Elle était légèrement chancelante, les yeux embués de larmes, il lui passa la main dans les cheveux afin de dégager son visage et lui sourit. Il saisit ensuite un tawse dans l'armoire, prit Camille par la main et la conduisit dans le salon, la culotte aux chevilles. Elle constata en passant devant le miroir que ses fesses étaient d'un rouge soutenu mais elle s'attendait à pire. Elle jeta un œil à l'instrument que tenait Nicolas, elle adorait le détester surtout lorsqu'elle prenait parfois quelques coups sur la plante de pieds ou son sexe. Un frisson lui parcouru l'échine. Il remonta sa culotte à mi-cuisse et lui demande de se mettre à genoux sur le fauteuil. Il lui retira ses chaussettes et déposa la bande de cuir sur ses mollets et s'assit dans le canapé en face.

 

    - "Tu n'as toujours rien à me dire, Camille? Je te laisse réfléchir en profitant du spectacle, tu imagines si la vendeuse du magasin te voyait là après ton caprice?"

Elle devint aussi rouge que se fesses et resta muette. Il sortit fumer une cigarette, elle sentit de nouveau la brise de novembre caresser ses fesses et se mit à réfléchir. Elle se trouva un peu bête, le derrière brûlant, seule au milieu de la pièce mais c'est vrai qu'elle l'avait bien méritée, elle s'en voulait un peu et était taraudée entre l'idée de foncer s'excuser et celle de poursuivre un peu le jeu. Nicolas ne lui laissa pas le choix, il était revenu de sa pause et s'était saisi du tawse. Il se mit face à elle et lui montra.

    - "Je suis sûr que quand j'en aurais fini avec toi, tu vas retrouver ta langue!"

Elle hocha la tête en signe d'approbation et il se mit à la fouetter, les coups étaient donnés d'une force raisonnable mais ravivèrent la brûlure de son arrière-train. Camille se cramponnait au dossier du fauteuil et gémissait chaque fois que le cuir touchait ses chaires meurtries qui se paraient progressivement de jolis rails foncés. Quand il estima son amie assez corrigée il redéposa le tawse sur ses mollets, elle se frictionna les fesses et il la regarda sans rien dire. Il remonta sa culotte dont la blancheur contrastait avec le pourpre qui débordait de celle-ci, laissant sa chérie quelque peu décontenancée. Il saisit ensuite son pied, un spasme lui parcourut tout le corps et un premier coup tomba, elle poussa un cri et contracta sa voute plantaire. Il poursuivit ce petit jeu lui donnant 5 coups de chaque côté, puis se plaça de nouveau face à elle.

    - "Alors Camille, tu n'as toujours rien à dire?" dit-il en la regardant fixement.

Elle passa sa main sous sa culotte, touchant ses fesses cramoisies, une larme coula sur son visage. Elle prit une grande inspiration et s'excusa d'un trait.

    - "Je te présente mes excuses pour mon comportement et avoir dit que tu étais méchant alors que c'est pas du tout vrai."

Les émotions accumulées la firent de nouveau éclater en sanglot, il s'assit sur le fauteuil et la prit sur ses genoux en la serrant fort contre lui et lui caressant les cheveux pour l'apaiser. Ils restèrent ainsi blottis de longues minutes.

    - "Va te reposer un peu et on goutera ensuite."

Camille se leva encore totalement déboussolée et regarda l'heure sur la télé, il était à peine 15h. Elle pensait que sa correction avait durer des heures mais ils n'étaient revenus que depuis une petite heure.

    - "Non non je ne t'ai pas fessé pendant deux heures!" dit-il en rigolant et la prenant par la main.

Il l'emmena vers la chambre et s'arrêta devant le miroir. Il lui baissa sa culotte et s'agenouilla pour lui retirer complétement. Elle observa minutieusement ses fesses constatant les dégâts et sourit. Même si son derrière était douloureux elle se sentait bien, heureuse que l'on veille sur elle. Ils se remirent en route, il lui ôta son gilet, dégagea la couette, l'installa sur le ventre puis sortit de la table de nuit un tube d'arnica. Il déposa deux noisettes sur les globes rubiconds de son amie et les massa tendrement jusqu'à ce qu'elle s'endorme. Il la couvrit et déposa un baiser sur son front et partit vaquer à ses occupations. Il revint une heure plus tard.

 

     - "Camille, réveille-toi." Lui glissa-t-il doucement à l'oreille en lui caressant le bras.

Elle émergea doucement encore un peu shootée par les endorphines, il lui remit sa culotte.

    - "Mais elle est sale." Dit-elle sur un ton désolé.

    - "Ce n'est pas grave, après le tiramisu je vais te laver et nous irons faire l'expo à Orsay si tu n'es pas trop fatiguée!"

    - "Nickel!" répondit-elle enjouée.

Ils se dirigèrent vers la cuisine, elle constata que le haut de ses cuisses était encore bien rouge et qu'avec ses cheveux en bataille elle ressemblait à une parfaite sale gosse. Ils goutèrent puis elle mit un disque et s'assit dans le fauteuil en s'emmitouflant dans un plaid attendant d'être lavée. Elle entendait l'eau couler et Nicolas s'affairer dans la chambre.

    - "Camille ton bain est prêt!" cria-t-il.

Elle commençait à avoir froid et ne se fit pas prier. Il la déshabilla puis la contempla.

    - "Tu es vraiment belle avec tes fesses toutes rouges, mais il faudra que l'on s'occupe de ça ce weekend!" dit-il en passant sa main sur la légère toison blonde qui commençait à repousser sur son entrejambe. Elle rougit et grimpa dans la baignoire. Elle s'assit précautionneusement la chaleur du bain ravivant les picotements de la fessée.

    - "Ça pique un peu!"

    - "C'est un problème de petite fille pas sage ça!" lui répondit-il en glissant un peu de gel douche dans sa main. Il lui lava le haut du corps faisant tourner ses doigts autour de ses aréoles puis la fit se lever pour lui frotter affectueusement les fesses, il s'attarda sur son petit trou et son sexe puis la fit se réassoir pour terminer par ses pieds. Il sortit ensuite une brosse et entreprit de démêler sa chevelure qui avait payé un lourd tribut pendant la bataille.

       - "Aiiiiie!" râlait Camille en bougeant la tête.

    - "Arrête de remuer aussi, je fais de mon mieux!"

Ne voulant pas recevoir tout de suite une autre fessée, elle obéit et fût rapidement plus présentable.

Il la sécha puis sorti du lait hydratant parfumé, elle s'appuya sur le lavabo en se cambrant et reçut une petite claque.

    - "Hééééééé, je n'ai rien fait!" s'écria-t-elle.

    - "C'était trop tentant!" dit-il en lui appliquant le baume sur les fesses puis poursuivit son massage sur l'ensemble de son corps.

Elle se dirigea ensuite vers la chambre dégageant de douces senteurs de lotus et de sycomore. Il commença par lui mettre une culotte blanche qu'il avait acheté plus tôt, un soutien-gorge coordonné et un maillot à fines bretelles. Il la fit ensuite s'asseoir et la bascula afin de dérouler sur ses jambes une paire de collants noir opaque. Il compléta sa tenue avec un sous pull chaud à col roulé blanc et une robe chasuble gris chiné. Il lui mit un ruban assorti à sa robe dans les cheveux, passa sa médaille au-dessus du pull, et lui mit une touche de parfum derrière l'oreille. Il termina en la chaussant de ballerines Repetto à talon noir verni.

    - "Voilà une vraie petite fille modèle!"

Camille se regarda dans le miroir et fût satisfaite de ce qu'elle voyait. Elle déposa un baiser enfantin sur la joue de son chéri en guise de remerciement. Il lui mit une veste en jean et ils partirent vers le musée.

    - "Camille, tu me donnes la main pour traverser!" lui dit-il arrivé au carrefour.

Elle piqua un fard et décida de ne plus lui lâcher la main jusqu'au musée. Ils prirent les billets et il lui glissa à l'oreille :

    - "Tu es sage et pas de caprices si tu ne veux pas une nouvelle fessée."

Camille fût profondément troublée par cette remarque et la visite se passa sans encombre. La fin de journée se passa paisiblement, ils dînèrent et regardèrent un film.

    - "Aller hop au lit!" s'exclama-t-il une fois le programme terminé.

    - "Oui sacrée journée!" dit-elle en lui faisant un clin d'œil

    - "Range tes affaires et commence à te déshabiller, je vais te mettre en pyjama mais avant je prends une douche!"

Elle rangea un peu le salon, retira sa robe et son pull puis se dirigea vers la chambre. Elle baissa son collant et sa culotte constatant que ses fesses avaient presque retrouvé leur couleur normale.

Elle s'assit sur le lit où se trouvait son nouveau pyjama et Nicolas apparût quelques instants après.

Il commença par retirer son haut et lui mettre sa marinière puis elle se retrouva dans la même position enfantine que précédemment pour retirer ses collants et sa culotte.

    - "Elles ont bien rafraichi tes fesses." constata-t-il.

    - "Oui c'était une petite fessée!" dit-elle sur un ton provocateur.

Il la regarda et elle lui tira la langue en guise de réponse.

    - "Un coup je suis méchant, un coup je suis trop gentil! Il faudrait savoir, Camille!"

Toujours les jambes en l'air il se mit à lui claquer rapidement les fesses. Son derrière encore sensible de la précédente correction, elle se mit à se tortiller comme une anguille. Il coinça ses jambes sous son bras et reprit la claquée. Elle commençait à regretter son petit moment de défiance. Il cessa le ballet et entreprit de lui donner de fortes claques plein centre. La position exposant fortement son intimité chaque coup irradiait vers son bas ventre et ses gémissements plaintifs prirent rapidement un autre registre. Faisant semblant de ne rien entendre, il arrêta la fessée et lui mit son bas de pyjama. 

 

    - "J'espère que ça te servira de leçon!" dit-il en la reposant.

Ils se couchèrent ensuite mais Camille échaudée ne comptait pas en rester là, quelques minutes plus tard elle était sur son chéri et ils firent l'amour passionnément.

Cette journée l'avait bien remotivée et apaisée, elle gagna tout de même une fessée le weekend mais elle était globalement plus sereine, elle avait aussi retrouvé ses mercredis libres. La semaine suivante elle se remémora son caprice et surtout la correction qui en découla, sa main glissa à l'intérieur de son pyjama et elle se mit à se caresser. Nicolas avait raison, elle allait longtemps s'en souvenir. Elle se leva ensuite et trouva son petit déjeuner préparé et un paquet. Elle l'ouvrit et y découvrit le pull qui lui avait causé tant d'ennuis. Une carte avec un lapin dessiné accompagnait le paquet :

    - "A mon amour de sale gosse, un méchant 😉"