XXXI : Le rendez-vous manqué

   - "Et n'oublie pas ton rendez-vous, Camille ! Sinon, crois-moi, tu vas le regretter !" Dit-il en agitant la main.

  - "Oui, oui t'inquiètes ! Travaille bien !" Dit-elle en lui déposant un baiser sur la joue.

Mercredi, deux semaines auparavant, elle s'était foulé le poignet en jouant au tennis avec sa cousine et comme à son habitude elle n'avait rien fait pour prendre soin de sa santé. Ce travers lui avait déjà valu quelques cuisantes explications avec Nicolas qui n'aimait pas que sa belle se néglige. Jugeant que son mal durait un peu trop, il avait appelé le médecin qui lui avait conseillé qu'elle fasse une radio. Il lui avait pris rendez-vous en fin d'après-midi et elle n'avait plus qu'à y aller.    

Camille termina son livre qui, à défaut de pouvoir jouer au tennis, décida d'aller courir avec Laure. Elle enfila un léger short gris ainsi qu'un débardeur rose pale, mit ses baskets, regarda l'heure sur son téléphone et se dit qu'elle avait largement le temps puis partit avec sa seule gourde à la main. 

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Sa réunion s'étant achevée plus tôt Nicolas se hâta de rentrer afin de pouvoir l'accompagner. Il rentra peu avant l'heure du rendez-vous et trouva l'appartement vide, il sourit pensant, ravi, qu'elle était partie chez le radiologue. Il fût un peu surpris de trouver les vêtements qu'elle portait dans le canapé, il les rangea et remarqua que sa tenue de sport n'était pas dans l'armoire. Surpris, il décida de l'appeler et entendit la danse de la fée dragée venir du salon. Il contacta alors Laure se disant qu'elle serait peut-être au courant de quelque chose.

  - "Oui, elle vient de partir de la maison ! Elle devrait bientôt arriver !" Lui dit-elle d'un ton rassurant.

  - "Merci Laure, à bientôt."

Il regarda sa montre, le cabinet était à mi-chemin. Elle pouvait encore y être. Il s'assit dans le fauteuil et attendit en fumant une cigarette. Une dizaine de minute plus tard, il entendit la clef dans la serrure et à moins qu'elle n'ait une très bonne explication, il était déterminé à lui donner une bonne leçon !

   - "Alors Camille, comment s'est passé ce rendez-vous ?"

  - "Bah euh." Répondit-elle en sursautant, surprise de le voir.

  - "Tu te moques du monde, je viens d'avoir Laure ! Tu n'y es pas allée ! Je me donne de la peine pour toi, j'étais même revenu plus tôt pour venir avec toi et mademoiselle rentre sans avoir fait sa radio ! Tu as une explication à me donner ?"

Une larme coula sur son visage.

  - "J'ai un peu moins mal…" Dit-elle non convaincue d'une petite voix, n'osant croiser le regard de Nicolas.

  - "Garde tes larmes tu vas en avoir besoin et tu vas avoir mal à un autre endroit dès que nous serons rentrés !" Dit-il en la saisissant par le bras.

Ils quittèrent l'appartement et cheminèrent rapidement vers le centre radiologique. Camille marchait tenue par la main, tête basse, honteuse, sachant qu'il avait parfaitement raison.

  - "Allez on se dépêche, Camille ! Je suis sûr que tu étais plus rapide pour aller t'amuser !"

Tout en marchant, elle essayait de se réajuster. Ils entrèrent et Nicolas s'adressa à la secrétaire, une femme d'une cinquantaine d'année d'air strict mais jovial à la fois.

  - "Je vous prie de bien vouloir excuser mon amie mais elle avait oublié son rendez-vous." Dit-il en agitant la main, puis donna sa carte vitale.

  - "Ça aussi tu avais oublié, pire qu'une enfant !"

  - "Des fessées qui se perdent !" Répondit la secrétaire en rigolant.

Camille rougit, troublée à l'idée que toute la salle d'attente savait qu'elle allait sans doute recevoir une bonne correction en rentrant.

  - "Pardon Madame !" dit-elle pour se donner une contenance tout en se rendant compte que s'était des excuses dignes d'une fillette de huit ans.

Elle les invita à s'asseoir. Elle contemplait en silence le bout de ses baskets mais un tourbillon d'émotions envahissait son cerveau mélange de honte, d'excitation, d'appréhension. La voix du radiologue la sortit de ses pensées, elle se leva et prit la main de Nicolas.

  - "Je ne peux pas venir avec toi, mais ça va aller vite." Dit-il d'un ton apaisant.

Elle revint deux minutes plus tard s'asseoir, esquissa un léger sourire à son chéri et ils attendirent qu'on les appelle pour le résultat. Quelques instants plus tard ils furent convoqués dans le bureau du médecin.

  - "Ce n'est pas bien grave Mademoiselle, quelques jours d'immobilisation et des massages avec un baume chauffant et ça sera vite guéri mais la prochaine fois ne tardez pas à consulter !"

Camille baissa la tête, ne voulant pas la gêner davantage, il acquiesça simplement et remercia le docteur.

Il la prit par la main et ils quittèrent le cabinet. Ils firent une halte à la pharmacie pour acheter le nécessaire, Nicolas se renseignant plus particulièrement sur la crème. Camille attendait sagement un peu en retrait, se sentant un peu exclue de cette discussion d'adultes. Elle était à la fois ravie que l'on s'occupe d'elle mais gênée d'être traitée comme une gamine en public à plus de trente ans ; ils rentrèrent ensuite à l'appartement.

Il la conduisit directement dans la chambre lui dénoua ses baskets, lui retira son débardeur puis son short et sa culotte et la fit s'agenouiller sur le petit ottoman où elle avait l'habitude de déposer ses vêtements. Elle mit instinctivement les mains sur la tête mais les descendit rapidement en grimaçant."

  - "Tu as vu c'est même handicapant dans ces moments ! Réfléchis un peu à ce que tu as fait, à ce que tu n'as pas fait, à la punition que tu mérites, j'ai quelques coups de téléphone à passer pour toi et je reviens m'occuper de te ton cas !" Dit-il d'un ton solennel.

  - "Pour moi ?" Dit-elle timidement.

  - "Tu le sauras bien assez vite !" Répondit-il en quittant la pièce.

Camille tendit l'oreille afin de pouvoir écouter mais il avait fermé la porte. Son cœur battait vite, elle était consciente qu'elle s'était fourrée dans de beaux draps, elle s'en voulait, elle se demandait aussi ce qu'il préparait pour elle. Elle regarda alors ses fesses dans le miroir de la chambre, d'un blanc immaculé elles ne le resteraient sans doute pas longtemps surtout qu'elle le savait fâché et déçu. Elle allait sans doute recevoir une fessée monumentale mais elle acceptait son sort se disant que s'était amplement mérité.

Nicolas revint une vingtaine de minutes plus tard et s'assit sur le lit.

  - "Viens par ici, j'espère que tu as bien réfléchi !"

Elle se plaça devant lui, contemplant le bout de ses socquettes.

  - "Ce n'est pas la première fois que ça arrive Camille, tu négliges ta santé, tu te retrouves les fesses à l'air, tu pleures, tu jures que c'est la dernière fois, tu t'en veux mais tu recommences, inlassablement. Je sais que c'est compliqué pour toi de gérer certains aspects de la vie d'adulte, je t'aide du mieux que je peux mais je ne peux pas tout faire à ta place ! Il faut y mettre un peu du tiens même ma filleule qui a 7 ans sait qu'elle doit se soigner quand elle est malade ! Et pourtant tu es sans doute la personne la plus brillante que je connaisse ! Alors dis-moi ce qu'il faut faire !"

Elle pleurait doucement, il aurait voulu la serrer dans ses bras mais ça n'aurait été l'aider et il poursuivit.

  - "Dis-moi ! Dois-je t'ignorer quand tu es malade ou tu vas mal ? Je le refuse, je t'aime trop pour ça ! Dois-je te fouetter au sang ? Je le refuse également, je t'aime trop pour ça et je ne suis pas sûr que ça t'empêcherait de recommencer ! Mais tu es bien consciente que ne peut pas laisser passer ça et que tu mérites une bonne leçon !"

Totalement chamboulée elle hocha la tête, les larmes dégoulinant sur son visage, une petite boule au ventre, l'entrejambe légèrement humide. Un mélange d'émotion qu'elle connaissait bien mais qui n'avait jamais été aussi fort. Il l'allongea sur ses genoux, plaçant son buste sur le lit pour ne pas solliciter son poignet et lui caressa le dos pour l'apaiser.

  - "C'était quoi les coups de fils pour moi ?" Demanda-t-elle d'une petite voix.

  - "J'allais y venir !" Dit-il en lui tapotant les fesses.

  - "Tu vas tout d'abord recevoir une bonne fessée et tu auras la même fessée tous les soirs pendant trois jours plus une spéciale dimanche. Les coups de fils, vu que tu dois être immobilisée quelques jours j'ai obtenu un arrêt du médecin, j'ai prévenu ton travail et Laure qui va te babysitter."     

  - "Me babysitter ? Mais tu ne vas quand même pas m'envoyer chez elle avec une couche ?" Dit-elle sur un ton vraiment inquiet.

  - "Non ne n'inquiètes pas mais ça peut-être une solution si l'idée de ne pas prendre soin de toi te reprenait !"

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Son visage s'empourpra à l'idée que sa jeune cousine la voit ainsi, elle sentait paradoxalement son sexe devenir de plus en plus humide ce qui renforça sa honte. "Mais tu n'es vraiment pas bien dans ta tête ma fille !" se disait-elle intérieurement. Nicolas ne la laissa pas disgresser plus longtemps et commença à la corriger. Une vraie fessée en règle, les coups donnés ni trop forts ni pas assez couvraient méthodiquement toute la surface fessière de Camille qui se parât rapidement d'une belle couleur rouge. Il insistait particulièrement sur la jonction des fesses et des cuisses de sa belle qui se mit rapidement à gigoter. Il poursuivit son œuvre ne lui laissant le temps de respirer, chaque claque venant raviver la douleur de la précédente. Camille dépassée par ses émotions et la douleur grandissante se mit à pleurer comme une enfant mais la fessée se poursuivait, implacable. Il donnait maintenant des séries de coups au même endroit, la faisant remuer les jambes de manière spasmodique. Elle sentait une sorte d'apaisement l'envahir et cessa de lutter. Vidée, matée. Il stoppa alors la correction et lui caressa affectueusement les cheveux la laissant reprendre ses esprits. Il l'aida alors à se relever, elle lui sourit timidement. Ses fesses étaient d'un bel écarlate uniforme avec quelques petites marques ça et là. Il la prit par la main et se dirigea vers le salon. Il la mit au coin et partit dans la cuisine.

  - "Je commence à préparer le repas, ne bouge pas sinon gare à tes fesses !"

Il mit un peu de musique afin de combler le silence et s'affaira à préparer les plats.

Camille commençait à s'ennuyer et ses fesses lui piquaient. Elle tourna discrètement la tête et commença à se frotter les fesses. Sans dire un mot il s'approcha d'elle avec un martinet qu'il avait sorti du tiroir et lui cingla les fesses et les cuisses de manière désordonnée jusqu'à ce qu'elle reprenne sa position. Elle bougonna un peu et compris que cette fois il n'y aurait pas de concessions et qu'elle était véritablement punie mais elle l'avait, après tout, bien cherché.

  - "Jusqu'à la fin de la semaine tu seras traitée comme une enfant de 7 ans, Camille. La moindre velléité de ta part sera punie quand on n'est pas capable d'aller à un rendez-vous pris pour son bien, on n'est pas capable de décider ! On obéit ! Tu m'as bien compris Camille ?"

  

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 - "Oui Nicolas" répondit-elle à voix basse à la fois totalement honteuse et troublée par la situation.

Il retourna dans la cuisine puis l'emmena dans la salle de bain, elle constata que ses fesses étaient encore bien rouges en passant devant le miroir du couloir. Il lui retira ce qu'il lui restait de vêtements et la fit monter dans la baignoire. On va d'abord s'occuper de ça, dit-il en passant la main sur le léger duvet qui avait repoussé sur le sexe de sa belle. Camille s'épilait intégralement mais handicapée par sa main, elle n'avait pas pu s'y employer. Il déposa un peu de mousse à raser dans sa main, elle se cacha les yeux, mortifiée, et il entreprit de la raser minutieusement. Il la retourna ensuite et fit de même avec son petit trou puis la rinça et la lava tendrement en insistant bien sur ses parties intimes redevenues lisses. Il l'aida à sortir, la sécha et la mena dans son plus simple appareil dans la chambre. Il la fit s'allonger sur une serviette qu'il avait disposée sur le lit et lui mit du lait hydratant sur les fesses et sur son sexe afin que sa peau ne s'irrite pas. Il profita de la position pour lui glisser une culotte et un bas de pyjama puis la fit asseoir pour lui mettre le haut. Il la peigna ensuite délicatement, Camille lui sourit, ravie. Il alla ensuite chercher la crème pour lui masser le poignet et lui mit une bande afin de l'immobiliser.

  - "Ouah ça chauffe !" S'exclama-t-elle !

  - "Ça va te soulager." Lui répondit-il en lui caressant la joue et ils partirent tous deux dîner.

  - "Mais comment je fais faire pour manger !" Pesta Camille.

  - "Je vais te couper ta viande et c'est pour ça que tu vas chez Laure demain ! Et ça t'évitera de faire des bêtises, n'oublie pas que tu vas déjà recevoir 3 autres fessées !"

Camille partagée entre l'indignation et le désir hocha simplement la tête.

Elle se posa ensuite dans le canapé, bien contente de ne pas pouvoir laver la vaisselle.  

Vers 21h30, il estima que c'était l'heure de se coucher pour les petites filles. Camille, épuisée, ne protesta pas. Il la borda et elle s'endormit rapidement, bientôt rejointe par son chéri.

Le lendemain matin elle fût réveillée par une envie pressante, elle grogna un peu sur la difficulté d'effectuer des gestes si simples avec une seule main puis partit regarder la télé. Il la rejoint une vingtaine de minutes plus tard, l'embrassa, lui prépara son petit déjeuner : trois tartines de confiture coupées en deux et un chocolat et l'appela.

  - "Camille vient déjeuner !"

  - "J'arrive." Lui répondit-elle ne bougeant pas absorbée par son programme.

  - "Camille, attention si je viens te chercher !"

Elle se leva en soufflant et se dirigea vers la cuisine.

  - "Du chocolat c'est bon pour le goûter mais le matin je veux du café !"

  - "Alors d'abord, jeune fille, on ne dit pas je veux mais je voudrais et les petites filles ne boivent pas de café !"

  - "Ce n'est même pas juste d'abord ! Je suis grande !"

  - "Ce n'est pas ce que tu as montré hier ! Alors dépêche toi de déjeuner si tu ne veux pas que je te donne une fessée avant d'aller chez Laure et que je l'informe du motif de notre retard !"

Ses joues devinrent aussi rouges que des tomates, si Laure connaissait ses petites disgressions et s'adonnait, elle aussi, de temps à autres à ces pratiques il y avait un monde entre en parler comme ça et avouer qu'elle venait d'être punie. Sachant qu'il n'hésiterait sans doute pas, elle avala son chocolat sans rien dire. Il rangea la vaisselle puis la conduisit dans la salle de bain. Il lui fit une légère toilette au gant, lui brossa les dents ce qu'elle trouva assez amusant. En d'autres circonstances elle aurait sans doute postillonné du dentifrice mais la menace planant, elle se laissa sagement faire. Il l'emmena ensuite dans la chambre pour l'habiller : une culotte petit bateau blanche coordonnée à son soutien-gorge, une petite jupe patineuse grise, un chemisier en jean et un gilet marine. Il lui enfila ensuite une paire de Repetto vernies et la coiffa d'une queue de cheval. Camille se regarda dans le miroir, elle ressemblait vraiment à une petite fille modèle. Il lui refit son pansement et se prépara ensuite. Il la prit ensuite par la main et la conduisit chez sa cousine.

Ils bavardèrent tous trois quelques instants puis il les quitta.

  - "Et sois sage avec Laure sinon gare à tes fesses !"

Camille piqua un fard et s'engouffra dans le fond de l'appartement ce qui fit beaucoup rire Laure. Toutes deux passèrent une agréable journée, ponctuée de quelques petites allusions à la fessée mais Camille se sentait beaucoup mieux, apaisée, chérie. Il vint la chercher vers 18h et ils rentrèrent. Elle lui raconta sa journée et ils vaquèrent à leurs occupations. Elle savait qu'elle allait recevoir une fessée mais ne savait pas quand, la patience pour ce genre de chose n'étant pas sa plus grande qualité elle décida d'aller voir son chéri qui était assis dans le fauteuil.

  - "Dit, c'est quand que je vais recevoir ma fessée ?" Demanda-t-elle timidement.

  - "Mademoiselle est pressée ?" Dit-il en rigolant.

Sans la prévenir, il la coucha sur ses genoux, lui baissa sa culotte et entreprit de la fesser. La punition se déroula comme la veille de main de maître comme on punirait une sale gamine, elle se mit rapidement à gesticuler mais les larmes ne virent pas. La fessée cessa, presque à regret pour Camille. Il lui retira ensuite sa jupe et la plaça au coin devant lui, il s'échappa quelques instants pour aller faire couler un bain et reprit sa place en l'embrassant dans le cou au passage. Elle hésita quelques instants à bouger afin de prolonger la fessée mais elle était bien, apaisée, et n'en fit rien. Ils partirent ensuite dans la salle de bain, il la dévêtit et la baigna comme on baignerait une petite fille. Avec une infinie tendresse il lui lava les cheveux et la mit en pyjama. Il enroula ses cheveux dans une serviette.

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  - "Je te coifferai après dîner."

Elle déposa un baiser enfantin sur sa joue en guise de réponse. Ils dinèrent puis Camille s'installa devant un film.

  - "Camille il va être l'heure d'aller au lit et de te brosser les cheveux !"

  - "Mais il est tôt et je regarde un film !"

  - "Ne discute pas Camille !" Dit-il d'un ton autoritaire.

  - "Oui j'arrive !" Répondit-elle, sans aucune intention de se lever.

  - "Camille !" Répéta-t-il cinq minutes plus tard.

  - "Rho mais c'est bon !" Grogna-t-elle.

Sans rien dire il entra dans le salon le martinet à la main, elle se leva comprenant qu'elle avait été trop loin.

  - "Mais j'arrive…" Dit-elle à voix basse.

  - "Tu as peut-être oublié que tu étais punie, je vais te le rappeler !"

Il glissa ses doigts sous l'élastique de son pyjama et le descendit à ses chevilles, sa culotte prit le même chemin. Il la saisit ensuite par la taille et commença à la fouetter. Les coups vifs et précis la faisaient sautiller d'un pied sur l'autre. Après une vingtaine de cinglées, il la conduisit dans la chambre. Camille cheminant culotte aux chevilles se sentait vraiment morveuse. Arrivés dans la chambre il lui appliqua un peu de lait sur les fesses et la serra contre lui. Il lui remonta ensuite son pyjama et s'occupa de son poignet et de ses cheveux avant de la border. 

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Le vendredi et le samedi se passèrent sans encombre selon le même rituel. Camille réussit à échapper au martinet et cette punition resserra encore un peu plus les liens qu'elle avait avec sa cousine et son chéri. Le dimanche lors du déjeuner ils discutèrent longuement, elle lui annonça fièrement qu'elle avait pris rendez-vous pour vérifier son poignet avec Laure. Il la félicita et annonça que la punition était levée.

S'il aimait infiniment la petite Camille ce qu'il aimait encore plus c'était cette dualité "petite fille" et femme. Il était ravi de retrouver son amie dans son entièreté mais ces quelques jours leur avaient apporté beaucoup. 

  - "Mais je ne devais pas avoir une fessée spéciale en plus ?" Dit-elle à voix basse.

  - "Au vu de ta bonne volonté j'avais prévu de t'en faire grâce et te redonner une simple fessée ce soir mais tu as raison chose promise chose due !"

Il la prit par la main et la conduisit dans la chambre, son cœur battait à toute vitesse elle se demandait pourquoi elle lui avait rappelé mais elle savait qu'elle ne se sentirait totalement pardonnée qu'une fois la sentence exécutée de plus elle était curieuse de nouvelles expériences et avait une petite idée de ce que lui préparait Nicolas depuis cette fameuse discussion à la pharmacie. Il lui sourit et la déshabilla entièrement puis il dressa une serviette sur le lit sortit et le tube de crème chauffante.

  - "Tu es prête, Camille ?" Dit-il en s'asseyant sur le lit.

Elle hocha la tête et vint s'allonger sur ses genoux, contrairement aux fessées précédentes celle-ci commença de manière plus douce faisant monter progressivement la température la laissant s'abandonner dans une douce torpeur, il marqua plusieurs pauses où il lui caressa amoureusement le sexe y glissant un doigt. Quand il la jugea à point et son derrière assez rouge il la fit glisser sur la serviette. Camille se remémora alors une expérience d'adolescence où curieuse elle s'était tartiné les fesses d'une substance similaire, l'effet n'étant pas instantané elle avait décidé de s'en mettre un peu sur l'entrejambe. Elle se rappela la brûlure intense qui en découla quelques minutes ensuite elle en avait même perdu le contrôle de sa vessie puis elle connut son premier véritable orgasme. Elle l'avait raconté à Nicolas au tout début de leur relation mais s'en rappelait-il ?

Il s'affaira dans le placard et en sortit des attaches velcro qu'ils utilisaient parfois. Il les lui mit aux chevilles et lui attacha les mains ensemble. Camille se laissait faire sagement avec tout de même une légère appréhension, il sortit une protection et la glissa sous ses fesses.

  - "Au cas où !" Dit-il en lui faisant un clin d'œil.

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Elle lui sourit et lui prit la main puis le libéra comme un signe d'acceptation de ce qui allait arriver. Il lui releva les jambes et appliqua une bonne couche de crème sur son derrière rubicond puis les redéposa et déposa une petite noisette sur son mont de vénus et lui frictionna délicatement l'entrejambe prenant bien soin de n'en déposer qu'à la surface et il termina par une petite quantité sur son anus. Il réajusta la position de son amie et lui attacha les jambes au lit de telle sorte qu'elle ne puisse les refermer. Il la regarda, magnifique dans sa nudité, totalement offerte. Camille sentait la chaleur l'envahir progressivement et la brûlure devenir de plus en plus forte jusqu'à être quasi insoutenable, elle commença à suer et à se contorsionner sensuellement. Nicolas la caressait tendrement du bout des doigts, les faisant glisser de ses chevilles à sa nuque. La douleur atteint son paroxysme au bout de 5 minutes, elle commençait à l'apprivoiser et bientôt elle se transforma en plaisir. Elle sentait, aidée par les caresses de Nicolas, son sexe s'ouvrir inexorablement, il ouvrit alors le tiroir côté Camille, en sortit sa mini wand et l'appliqua sur son entrejambe. Elle sourit tout en se mordillant la lèvre et eut rapidement un violent orgasme bientôt suivi d'un autre. Il laissa le jouet entre ses cuisses et libéra son amie. Il l'embrassa langoureusement et l'emmena se doucher afin d'apaiser un peu le feu, elle l'invita à le rejoindre et ils firent l'amour. Il se séchèrent et se rhabillèrent.

  - "J'espère que tu n'as pas oublié comment mettre ta culotte depuis trois jours !" Dit-il en rigolant.

Elle le regarda en battant des cils.

  - "J'ai compris !" Dit-il en lui faisant lever le pied.

Ils partirent dans le salon et il lui servit un café.

  - "Ça m'avait manqué ça !"

Le weekend se poursuivit gaiement, Camille se demandant tout de même si la punition spéciale aurait été si câline si elle n'avait pas fait d'efforts. Ils finirent la journée par le film qu'elle avait commencé et partirent dans la chambre. La couche et les attaches trainaient encore sur le lit, Nicolas les rangea et lui glissa à l'oreille :

  - "Ça peut resservir pour les petites filles pas raisonnables !"

Elle le regarda et il comprit qu'il avait devancé son interrogation, il l'embrassa et ils se couchèrent plus amoureux que jamais.

 

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