XXXV : Une semaine mouvementée au ski
Depuis ses 8 ans, Camille partait pratiquement tous les hivers à la montagne avec son amie Athénaïs. Les parents de celle-ci possédaient un chalet dans une petite une station nichée au cœur d'une vallée. Elle s'accordait tous les ans cette petite pause avec son amie et sa famille. Athénaïs supervisait cette année un projet au Japon, ses parents lui avaient proposé gentiment de lui donner les clés afin qu'elle puisse s'y rendre avec Nicolas qui n'était pas friand des sports d'hiver.
- " Je te promets je serais hyper sage, puis je me lèverais tôt pour skier le matin et comme ça on fera des trucs à deux l'après-midi ! Toute façon tu es toujours grognon le matin ! " dit-elle avec un sourire enjôleur.
- " Moi grognon le matin, il est 11h et tu es encore en pyjama ! " dit-il en rigolant.
Vexée, elle lui tira la langue.
- " On va y aller, j'allais te le proposer de toute façon mais attention à toi si tu ne tiens pas tes engagements ! " dit-il en agitant la main.
Elle lui sauta au cou et l'embrassa.
Un mois plus tard ils étaient tous les deux au cœur de la Savoie. Camille, surexcitée, lui avait raconté, sur la route, tous ses souvenirs de ski avant de s'endormir comme à son habitude en voiture. Elle se réveilla quand il stoppa le moteur devant le garage. Elle sortit, respira à pleins poumons, le regard émerveillé par le paysage enneigé, puis ouvrit le garage et ils commencèrent à s'installer. C'était un petit chalet cossu sur trois niveaux, un sous-sol garage aménagé avec la buanderie, une douche, un vestiaire à ski et quelques autres équipements pratiques, l'étage principal d'un seul tenant avec la cuisine, un salon avec une grande cheminée et un étage en L, dégageant une belle hauteur sous plafond sur le salon, avec deux petites chambres et une salle de bain. Après avoir sorti ses affaires, elle descendit et revint quelques minutes plus tard, vêtue de sa combinaison.
- " Tu ne m'as jamais vue comme ça ! " dit-elle en tournoyant sur elle-même.
- " Aller vas-y ma petite esquimaude, je sais que tu en meurs d'envie ! Je vais aller faire les courses de toute façon ça sera plus rapide sans toi ! Mais attends deux minutes. "
Il revint quelques instants plus tard, lui mis un peu de crème solaire sur le visage, l'embrassa langoureusement et lui mit une tape sur les fesses lui indiquant qu'elle pouvait partir. Elle lui rendit son baiser, chaussa ses skis et rejoignit les pistes par le petit chemin partant du chalet. Nicolas de son côté partit explorer le village. Les premiers jours se déroulèrent sans accrocs, il commençait même à apprécier la neige, Camille lui faisant découvrir des activités et des lieux de son enfance. La matinée du mercredi était prévue brumeuse, ils avaient donc décidé d'aller tous les deux dans un spa de la station voisine et Camille partit skier l'après-midi.
- " Ne traine pas trop, n'oublie pas qu'on va au cinéma !"
- " Oui oui t'inquiète de toute façon les remontées ferment à 17h et si j'oublie tu sais où je suis ! "
- " Attention tes fesses si tu oublies ! " répondit-il sur un ton sérieux.
Elle rougit légèrement, lui déposa un baiser sur la joue et partit.
17h30 pas de Camille.
- " J'en connais une qui veut une fessée ! " se dit-il en souriant.
Il enfila son blouson et décida de partir au café en bas des pistes où elle buvait parfois un chocolat avec des connaissances de la station, ne la voyant pas il interrogea la patronne.
- " Camille, non je ne l'ai pas vue en tout cas ravi de faire votre connaissance Monsieur Nicolas !"
Il partit un peu surpris que l'on connaisse son nom, sa chérie étant souvent réservée, il retourna au chalet se disant qu'elle était peut-être rentrée. Mais toujours pas de Camille, il décida de l'appeler et entendit la musique de "la fée dragée" venir du bar…
- " 18h, elle va m'entendre cette sale gosse ! " s'exclama-t-il d'une voix courroucée qui masquait son inquiétude.
Il repartit vers le bar, la patronne envoya sa fille pour l'aider à la chercher. Ils finirent par la retrouver quelques minutes plus tard, hilare, devant l'ESF en train de discuter avec un vieil homme.
- " Ah bah tu es là je me suis inquiété, t'as vu l'heure ! " sa voix masquait mal son émotion.
- " Désolé, Monsieur c'est un peu ma faute… Ne la grondez pas trop fort ! "
- " Ne vous inquiétez pas je vais juste avoir une explication avec cette petite tête de linotte ! Des fessées qui se perdent quand même ! "
- " Je vous ne le fais pas dire, Camille était mon élève de son flocon à sa 3ème étoile ! " dit-il en rigolant.
Camille devint aussi rouge que la combinaison du moniteur et baissa la tête sans rien dire.
- " Je vous remercie mademoiselle, vous direz à votre mère qu'on l'a retrouvée et la remercierez ! "
Il salua le moniteur et tous s'éloignèrent.
- " En route, Camille ! " dit-il en agitant ostensiblement la main.
Elle suivit honteuse, honteuse de la situation mais surtout honteuse d'elle-même. Elle s'en voulait d'avoir inquiété son chéri, de son comportement alors qu'il faisait vraiment tout pour elle… Arrivés au chalet, elle retira sa combinaison et monta dans la cuisine en sous-vêtements, elle trouva son téléphone sur le bar.
- " Tu sais que je me suis vraiment inquiété, Camille… " dit-il d'un ton triste qui rajouta une dose de mal-être dans les émotions de sa belle.
- " Je suis vraiment désolée… " dit-elle au bord des larmes en regardant les appels manqués sur son téléphone
Il la serra dans ses bras, puis lui dit d'aller se doucher de mettre son pyjama et de le rejoindre. Il lui passa la main dans les cheveux, elle lui sourit chamboulée par ce qui se passait à l'intérieur d'elle, honte, tristesse, amour le tout saupoudré d'une légère crainte et désir de cette fessée salvatrice. Elle revint une dizaine de minutes plus tard vêtu d'un pyjama veste en tartan rouge, il avait allumé un feu dans la cheminée et l'attendait assis sur le canapé.
- " Et bien tu es plus rapide pour prendre ta douche que pour rentrer à la maison, Camille ! Je crois que tu sais pourquoi tu vas être punie ? "
- " Oui et c'est bien mérité… " dit-elle d'une petite voix.
- " Tu vois que tu peux être raisonnable quand tu veux, et en plus tu avais oublié ton téléphone, encore ! " Tout en la sermonnant il avait glissé ses doigts sous l'élastique de son pyjama et de sa culotte et les avaient descendus à ses genoux.
- " Une bonne fessée va t'aider à grandir un peu et être plus responsable, Camille ! C'est dommage à ton âge de devoir en passer par là encore et encore mais il me semble qu'il n'y a que ça que tu comprennes ! "
Elle hocha la tête. Ses mots raisonnaient dans tout son être, elle sentit une vague de chaleur partir du creux de son ventre et se diffuser dans tout son bassin. Ce sentiment d'être réellement punie comme une gamine, ces fessées malgré elle la troublaient profondément et avaient une saveur rare et particulière… Il l'allongea sur ses genoux et se mit à claquer sans ménagement chaque centimètre de la peau ses fesses. La fessée, rapide et sévère, les fit rapidement passer d'un blanc immaculé à un beau rouge soutenu. Camille gesticulait, essayant d'éviter les claques mais sentait paradoxalement au fur et à mesure que la brûlure augmentait un apaisement s'installer. Il marqua une pause pour lui frictionner les fesses afin de dissiper la chaleur et l'afflux sanguin, il l'avança légèrement afin que ses pieds ne touchent plus le sol et lui saisit la main. Le ballet de claques reprit sur un rythme plus lent mais plus percutant, il laissait chaque coup s'imprégner dans sa chaire, la cuisson se diffuser. Camille gémissait chaque fois que sa main meurtrissait ses fesses, elle sentait son sexe s'ouvrir et une douce torpeur l'envahir… Il lui caressa de nouveau les fesses puis se mit à les claquer à toute volée de manière désordonnée s'attardant sur la jonction avec les cuisses, ses jambes bougeaient de manière incontrôlée faisant glisser son pyjama et sa culotte, la douleur devenait presque insupportable. Camille décida d'arrêter de lutter et se mit à pleurer comme une enfant, vaincue mais apaisée.
- " Pardon, pardon " dit-elle entre deux sanglots
La correction avait cessé mais elle ne sentait encore ses fesses battre. Nicolas la laissa pleurer sur ses genoux en lui caressant la nuque et son derrière écarlate. Il l'aida ensuite à se relever et l'étreignit longuement.
- " J'ai quand même eu peur et je ne veux pas te perdre, jamais… " lui glissa-t-il à l'oreille.
Ses mots réactivèrent les larmes de Camille, mais elles n'avaient plus la même saveur.
Il la conduisit ensuite à côté de la cheminée et lui plaça les mains sur la tête. Il partit préparer le repas tout en l'observant et la reprenant lorsqu'elle se retournait lui donnant au passage quelques claques. Il lui remit finalement sa culotte et son pyjama.
- " Je serais quand même curieux de savoir ce que vous avez fait à ce pauvre moniteur avec ta copine ! "
- " Je te raconterai avec Athénaïs quand elle sera revenue, il n'a pas tort pour les fessées perdues mais là… " dit-elle en passant sa main sous son pyjama en grimaçant.
Elle s'assit sur une chaise où il avait disposé un coussin, ils dinèrent et gagnèrent rapidement la chambre. Il lui massa longuement les fesses avec de la crème apaisante et ils firent tendrement l'amour. La veille du départ, elle lui proposa de faire un bonhomme de neige, afin de perpétuer sa petite tradition avec Athénaïs. Ils partirent dans le petit jardin à l'arrière et en confectionnèrent un qu'ils coiffèrent d'affaires de son amie. Il prit quelques photos de Camille et Athénaïs des neiges et reçut une boule de neige.
- " Attention mon téléphone ! " dit-il en le rangeant rapidement.
Il en reçu une nouvelle et s'aperçut qu'elle avait préparé tout un stock de boules.
- " Mais d'où ça sort ça ! Tu avais tout prévu, sale gosse ! "
- " Moi non, je suis sage ! " dit-elle en mimant un ange et lui lança une nouvelle boule.
Elle se mit à courir en lui lançant des boules.
- " Tu vas voir tes fesses si je t'attrape, Camille ! "
- " Même pas cap ! Puis je suis plus rapide, je fais du sport moi ! "
Il l'accula dans un coin non sans s'être pris quelques boules et finit par l'attraper. Il la ceintura, la courba légèrement et se mit à lui claquer doucement les fesses sur fuseau. Il lui caressa longuement l'entrejambe et lui baissa ses vêtements au ras des fesses.
- " Hééééé mais je vais avoir froid moi ! "
- " Ne t'inquiète pas je vais te réchauffer ! " dit-il en se mettant à la fesser.
Il lui claqua les fesses méthodiquement quelques minutes sans force excessive mais suffisante pour lui créer des sensations et faire naître l'excitation chez son amie. Camille râlait pour la forme mais était plutôt ravie par cette situation inédite et troublante. Ses fesses lui piquaient légèrement et elle sentait la chaleur s'en dégager. Il cessa la fessée et laissa Camille les fesses à l'air. Cette dernière apprécia quelques instants le contraste avec le froid ambiant.
- " C'est malin maintenant j'ai trop chaud ! "
Elle prit une des boules de neige qui lui restait et la passa sur ses fesses rouges. Nicolas éclata de rire.
- " Il va falloir sécher ça ! "dit-il en lui donnant une nouvelle série de claques.
Une fois son œuvre achevée, elle le regarda d'un air mutin et se remassa les fesses avec sa boule. Ils continuèrent ce petit jeu, prirent quelques photos amusantes puis rentrèrent afin de ne pas réellement attraper froid.
Ils repartirent le lendemain la tête pleine de souvenir se jurant de revenir !
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