XIX : La punition

Si la plupart des fessées de Camille étaient pour des motifs légers, il lui arrivait de temps à autres de recevoir de vraies fessées pour de vrais écarts de comportement. Si elles étaient plus rares, c'est sur celles-ci que leur relation avait été construite. En voici une, souvenir, du point de vue de Nicolas.

Tu n'as cessé de râler toute la journée car tu avais un travail à rendre, travail que comme à ton habitude tu as repoussé à la dernière minute, et dont tu t'es bien gardée de m'en informer...

Tu m'as envoyé promener quand je suis venu te voir, je t'ai simplement regardée dans les yeux en t'annonçant que ce soir tu serais punie... Ce qui a eu l'effet de te calmer un peu, consciente que tu avais largement dépassé les bornes...

Tu as fini ton dossier et nous avons dîné. Tu étais dans tes petits souliers et tu t'es montrée peu bavarde. Nous avons vaqué à nos occupations, lecture pour toi, internet pour moi...

22h, je me lève et te regarde... Tu espérais que j'oublie mais il n'en fût rien... Je prends ton livre délicatement, y glisse le marque page et le dépose sur la table basse...

Je te prends la main et t'aide à te lever.

- "Il est l'heure, Camille!"

Tu baisses légèrement les yeux et me suis dans la chambre. Je m'assieds sur le lit.

-  "Tu sais pourquoi nous sommes ici, Camille?"

-  "Tu as dit que tu me punirais." répondit-elle à mi-voix en essayant de dérober son regard.

- "Oui tu vas être punie Camille et doublement punie. Non seulement tu as encore une fois repoussé ton travail à la dernière minute, et ce bien sûr sans avoir dit que tu avais un truc à faire, j'aurais peut-être pu t'aider! Mais en plus, Mademoiselle se permet de m'envoyer promener! Je te préviens tu vas t'en souvenir de celle-là, Camille!"

Joignant le geste à la parole, je te déboutonne ton jean et le fais glisser en bas de tes chevilles. Je t'installe sur mes genoux et te positionne de façon que tes pieds ne touchent plus le sol, un peu comme l'on punirait une sale gamine. Je tire ta culotte et commence à te fesser, les claques sont données de manière ordonnée et bien réparties sur toute la surface de tes fesses. L'intensité monte crescendo, tes fesses se parent rapidement d'une jolie teinte rouge, j'attrape ta main et augmente la force des claques. Tu te mets à gigoter, ton jean et ta culotte ont rejoint tes chevilles, je donne maintenant des séries de quatre ou cinq claques au même endroit, l'une de tes ballerines rejoint le sol et tu commences à gémir. Tu te dis au fond de toi que tu l'as bien méritée mais bon dieu que ça pique! Tu serres ma main de plus en plus en plus fort, il n'en faudrait pas beaucoup pour que je te fasse craquer... Je cesse la correction, tu restes sur mes genoux le derrière écarlate. Je te passe la main sur ta nuque transpirante et t'aide à te relever.

Jeune femme dans sa chambre recevant une bonne fessée à la main son jean baissé sur les genoux de son fesseur (hard otk bedroom spanking)


 

- "Tu vois, Camille, ce qui arrive quand on n'anticipe pas! Maintenant tu vas retirer ton pantalon et voir ce qu'il en coûte d'avoir un caractère de cochon et de parler comme tu m'as parlé!"

T'en voulant un peu de m'avoir envoyé balader comme tu l'avais fait, tu retires tes vêtements et les places sur le petit banc. Tu passes la main sur tes fesses pour en jauger la chaleur avec une certaine appréhension…

Je sors de ta table de nuit une belle brosse en bois de hêtre, celle dont tu te sers pour te brosser les cheveux avant de dormir et reviens m'asseoir au bout du lit. Tu me regardes avec ton air de chien battu pour essayer de m'apitoyer…

- "Tu savais parfaitement à quoi t'en tenir, Camille, viens t'installer!"

Résignée, tu retournes sur mes genoux.

Je passe une jambe au-dessus des tiennes et te prends la main. Tu n'as aucune échappatoire, mais paradoxalement tu te sens plus sereine que lors du dîner et tu sais que tu vas bientôt être délivrée de ta culpabilité et de tes fautes. Un premier coup de brosse tombe sur tes fesses déjà malmenées et tu te rappelles pourquoi tu la crains tant… Tu sens la chaleur et la douleur t'envahir, elle tombe de nouveau au même endroit puis en alternance sur tes fesses. La brûlure devient à la limite du supportable, les larmes te montent aux yeux mais tu tentes de résister… Cette maudite "fierté"… 

Jeune femme fessée nue sur les genoux de son fesseur installé sur son lit (naked otk bed spanking)

 

Je pose la brosse et te caresse les fesses, je veux te faire craquer, je sais que ta rédemption viendra de tes larmes! Je lève ma main et l'abat fermement au niveau si tendre de la jonction de tes fesses et tes cuisses et recommence de l'autre côté, je claque maintenant ton derrière à toute volée… Tu te mets rapidement à pleurer de manière incontrôlée, je poursuis encore quelques secondes la fessée.

- "Pardooooon bouhooooouuu"

- "Allez, Camille c'est fini!"

Je te serre contre moi et tu pleures de longues minutes sur mon épaule, je te frictionne le dos et les fesses, tout en te réconfortant et te pardonnant.

Tu cesses progressivement de pleurer, je t'aide à te lever et t'envoies dans la salle de bain te rafraîchir et mettre ton pyjama. Tu retires le reste de tes vêtements en me souriant et pars, tu fais ton traditionnel tour devant le miroir pour regarder tes fesses mais tu ne t'attardes pas trop, tu reviens une dizaine de minutes plus tard dans un petit pyjama en coton. Je t'attends assis sur le lit un tube de crème à la main et t'invite de nouveau sur mes genoux. Je baisse ta culotte de pyjama.

- "C'est encore bien rouge, des vraies fesses de sale gosse!"

Tu rougis légèrement honteuse. Je masse longuement tes fesses. Tu es maintenant totalement apaisée. Je remonte ton pyjama et tu te glisses directement de ta position au lit. Je mets la couverture et te dépose un baiser sur le front et te disant que j'arrive bientôt. A mon retour tu dors paisiblement.

 

 

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