XIV : Les vacances, le lac
En
ce début du mois d'août Camille et Nicolas avaient pris quelques jours
de vacances qu'ils avaient décidé de répartir entre visites de famille,
visites culturelles et un peu de farniente. Leur périple débutait par
quelques jours dans un gîte à la campagne non loin de Rouen. Ils avaient
décidé ce jour d'aller piqueniquer au Lac des Deux Amants avant de se
rendre en fin de journée chez les parents de Camille pour poursuivre
leur séjour.
- "Allez Camille, presse-toi! J'ai envie d'aller au lac!"
- "Mais je suis fatiguée, puis je vais avoir chaud!" dit-elle en se
jetant sur le lit, encore seulement vêtue de sa petite culotte, et y
mettant toute la mauvaise volonté possible.
- "Mais tu n'es pas possible toi, tu vas voir tes fesses si c'est moi qui dois m'en occuper!"
Elle tourna la tête, le regarda dans les yeux et lui tira la langue.
- "Je vois que mademoiselle veut jouer…" dit-il en s'agenouillant sur le lit légèrement agacé.
Il
retira d'un coup sec sa petite culotte, posa sa main sur son dos,
caressa ses fesses et sans crier gare se mit à lui claquer les fesses
fortement et rapidement pendant une bonne minute. Camille qui ne
s'attendait pas à une vraie fessée se mit rapidement à gesticuler mais
la pression de la main de Nicolas sur son dos lui interdisait toute
échappatoire. Quand les fesses de son amie furent d'un beau rouge il
cessa la fessée.
- "Ne bouge pas sinon je recommence et là les gens au lac risquent de voir que tu as pris une bonne fessée comme une gamine!"
Elle
s'imagina la scène honteuse, avec une pointe d'excitation… Puis sentit
une pointe de fraîcheur sur ses fesses. Il lui massa tendrement les
fesses et lui déposa un baiser sur la joue.
- "Retourne-toi, je vais t'habiller sinon demain on est encore là !"
Camille
se retourna et lui sourit. Elle aimait ses petits moments où l'on
s'occupait d'elle, où elle n'avait rien à penser. Nicolas lui mit un bas
de maillot bleu ciel suivi d'un short qu'elle avait découpé dans un
vieux 501. Elle s'assit, il passa le haut du maillot ainsi débardeur
blanc avec des petits motifs ton sur ton brodés. Il lui brossa ensuite les cheveux
en queue de cheval, elle l'aida un peu pour attacher ses sortes de
spartiates. Elle se leva enfila ses Wayfarer, il prit le sac avec les
affaires pour la journée et lui mit un chapeau de paille sur la tête.
Puis il la prit par la main et ils se dirigèrent vers l'auto.
- "Attends, attends mon livre et une culotte!" s'écria-t-elle!
Il sortit du sac son livre et une petite culotte.
- "J'ai tout préparé pendant que mademoiselle trainaillait, la fessée aussi d'ailleurs" dit-il en rigolant.
Camille
se mit à rire également et tous deux prirent la route. Nicolas avait
repéré un endroit assez isolé où il y n'y avait qu'un jeune couple d'une
vingtaine d'années ainsi qu'une famille avec deux grandes adolescentes.
Ils s'installèrent sur la petite plage et déjeunèrent, puis se
plongèrent tous deux dans leur lecture à l'ombre pour digérer.
- "Je vais me baigner" dit Camille en se déshabillant et s'éloignant.
- "Hep où tu vas? il faut mettre de la crème solaire!" s'écria-t-il.
- "Il a raison votre compagnon, je n'arrête pas de le dire à mes filles!" dit la mère de famille en agitant la main.
Camille
rougit, honteuse de s'être faite attrapée comme une gamine revint vers
Nicolas. Il la tartina de crème sous l'œil intéressé de la mère de
famille, lui déposa un bisou sur les lèvres et lui mit une petite claque
bien sonore sur les fesses.
- "Zou à l'eau!!"
- "Tu ne viens pas avec moi?" dit-elle d'une petite voix.
- "Non j'ai envie de finir mon livre, mais je te surveille!" dit-il en rigolant.
Camille
partit donc se baigner, puis elle se sécha au soleil bientôt rejointe
par l'une des adolescentes et elles commencèrent à papoter un peu.
- "Je vais marcher un peu et après on ne va peut-être pas trop traîner" dit-il en s'approchant des filles.
- "Oui oui" répondit Camille.
Nicolas
revint une trentaine de minutes plus tard et trouva Camille en train de
s'amuser aux raquettes de plage avec l'adolescente, ne remarquant même
pas sa présence. Il fuma une cigarette et s'approcha.
- "On va y aller, on a encore de la route à faire!"
- "Rho mais je m'amuse bien!" dit Camille en bougonnant!
- "Nous aussi on va y aller de toute façon, allez Chloé va mettre ton
short on doit rejoindre ton père et ta sœur" dit la mère de famille d'un
ton autoritaire.
- "Puis je crois bien que ces deux-là
aimeraient bien être seuls!" ajouta-t-elle en désignant d'un clin d'œil
le jeune couple à l'écart.
Nicolas rigola, la jeune fille se
changea rapidement directement sur la plage et salua avec sa mère,
Camille et Nicolas et toutes deux partirent à vélo.
- "Allez! Toi aussi, change-toi et on y va."
Elle
le regarda avec un air de défi et courut dans le lac, elle fit quelques
longueurs et ressortit de l'eau un peu penaude bien consciente qu'il
risquait de lui arriver quelques ennuis. Il l'attendait sur le rivage,
lui prit la main.
- "Je connais une vilaine fille qui va avoir
de sérieux ennuis, une bonne fessée! Après tout c'est tout ce qu'une
sale gosse comme toi mérite!"
Le jeune couple jeta un coup d'œil
dans leur direction, puis ils se réenlacèrent. Pour Camille c'était
l'ascenseur émotionnel, elle fantasmait depuis longtemps sur une telle
fessée mais là ça allait arriver, tout s'entrechoquait en elle la honte,
l'envie, la peur, le désir… Elle sentait ses jambes légèrement
flageolantes… Nicolas s'arrêta, la regarda dans les yeux, lui caressa la
joue et lui reprit la main et l'entraîna vers un bosquet. Il la courba
sur son bras, lui caressa les fesses à travers son maillot de bain pour
la rassurer, puis commença à lui donner quelques petites claques dessus.
Il lui baissa sa culotte, passa un doigt sur son intimité…
- "Ca te fait de l'effet on dirait, petite vicieuse!"
Camille rougit de plus belle… Il lui donna une trentaine de claques et lui remonta sa culotte.
- "On finira ça en rentrant…" lui glissa-t-il dans l'oreille.
Il
lui passa la main dans les cheveux et la regarda, elle avait l'air
visiblement un peu chamboulée par ses émotions. Il lui prit la main et
ils regagnèrent la plage silencieusement. Elle fit comme Chloé et enfila
son short rapidement. Nicolas rassembla les affaires et les mit dans le
coffre. Le chemin du retour se fit sans échanger de paroles, bercé par
le vent qui s'engouffrait dans le cabriolet et la voix de Nina Simone.
De retour au gîte ils se dirigèrent vers la chambre. Il s'assit sur le
lit tenant les deux mains de sa chérie.
- "Tu te rappelles que
nous avons quelque chose à terminer, Camille! J'espère que tu as eu bien
honte de te retrouver comme une gamine les fesses à l'air sur la plage!
Mais tu m'as cherché, tu m'as trouvé! Que crois-tu que ta petite copine
penserait de toi si elle savait que tu avais eu une fessée après son
départ!"
Camille baissa les yeux. Et elle sentit pour la
troisième fois de la journée son intimité dévoilée pour recevoir une
fessée. Nicolas la fit tourner pour regarder ses fesses qui étaient
encore légèrement rosées puis l'installa sur ses genoux. Il glissa un
doigt dans son petit minou et constata que cela avait émoustillé Camille
au plus haut point. Cette fois la fessée se faisait plus amoureuse et
coquine, la faisant doucement monter en température alternant caresses
et claques plus ou moins fortes, jouant avec son petit bouton. La
respiration de Camille se faisait plus rapide et elle commença à gigoter
un peu, ses fesses étaient maintenant d'un beau rouge, prêtes pour le
final. Il lui caressa la nuque, la fit se relever, lui ôta son
débardeur, son haut de maillot et la positionna à quatre pattes au bord
du lit. Elle entendit le son de sa ceinture dans les passants, ce qui la
fit frissonner, comme à chaque fois. Le cuir glissa tout doucement sur
son dos avant de tapoter gentiment son sexe détrempé et de continuer sa
route le long de ses jambes. Il lui retira ensuite ses sandales, attrapa
son pied et lui donna quelques légers coups sur la plante. La ceinture
s'attarda de nouveau sur son intimité avant de frapper sèchement ses
fesses à quatre reprises, Camille laissa échapper un cri. Elle sentit
alors le sexe de Nicolas la pénétrer, l'amenant au bord de la jouissance
avant de se retirer et de lui donner quelques coups de ceintures… Il
poursuivit ce petit jeu sadique quelques instants, puis ils jouirent
tous deux. Ils restèrent allongés de longues minutes sans rien dire,
simplement à se regarder et savourer ce moment de bonheur. Camille jeta
un coup d'œil au réveil et constata qu'il était pratiquement 17h.
- "Tu as vu l'heure avec tes bêtises!" dit-elle en rigolant.
- "Mais c'est l'hôpital qui se fout de la Charité ici" dit-il en lui donnant une petite tape sur les fesses.
- "Je vais prévenir que nous aurons un peu de retard et après à la douche,
va m'attendre tu aimes bien ça!" dit-elle en battant exagérément des
cils.
Ils prirent leur douche un peu coquine, chargèrent la voiture pour la suite de leurs aventures…
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