XX : Un weekend suprise

Pour le 20ème épisode des aventures de Camille je vous propose un long épisode en 3 parties 😃

Partie 1 – Souvenirs
Partie 2 – La surprise
Partie 3 : Epilogue ou comment un œuf provoque une fessée

 

Partie 1 – Souvenirs

Vendredi 12h37, Camille sortit du bureau d'un air enjoué. Elle ne travaillait pas cet après-midi et avait prévu de prendre un peu de temps pour elle et de se préparer en vue de l'évènement du weekend : son anniversaire avec Nicolas. Il lui avait demandé de ne rien préparer, ni acheter, ni pour ce weekend. Camille, friande de surprises, et dont les envies du moment tendaient plus vers une fessée de femme qu'une punition de sale gosse décida de lui obéir. Elle avala un sandwich puis se rendit au hammam pour se détendre et se faire épiler. C'était un petit institut qui s'était installé il y a quelques temps et qui pratiquait l'épilation traditionnelle au sucre, et depuis qu'elle l'avait essayé, Camille l'avait adopté. De plus, il proposait une petite boutique avec quelques pièces choisies de jeunes créatrices. Camille, une fois relaxée et la peau aussi lisse qu'au premier jour, s'y attarda quelques instants et tomba sous le charme d'une petite culotte noire légèrement transparente qui la suivit jusqu'à chez elle. Elle se rendit dans la salle de bain pour la rincer et trouva une enveloppe écrite de la main de Nicolas : "Camille".

Elle ouvrit l'enveloppe et y découvrit un mot disant : "Bon anniversaire un peu en avance Camille, rends-toi dans la chambre !". Elle sourit, mit sa culotte à sécher et se dirigea vers la chambre. Sur le petit banc où elle avait l'habitude de poser ses affaires, elle trouva un sac en papier sur lequel était scotchée la même enveloppe. Elle l'ouvrit et lut : "Camille, il y a bientôt 7 ans nous nous rencontrions pour la première fois et je m'en souviens comme si c'était hier. Tu trouveras dans le sac un petit clin d'œil du passé. Je t'aime. Nicolas". Elle ouvrit le sac et y trouva l'exacte tenue qu'elle portait lors de cette première fessée : la jupe, le chemisier, sa petite culotte blanche côtelée et même les ballerines qu'elle avait jetées depuis longtemps et qu'il avait rachetées pour l'occasion. Dans le fond du sac, se trouvait un objet qu'elle croyait perdu depuis longtemps… Le carnet de correspondance qui avait servi de prétexte à cette première fessée. Elle le saisit, émue. Une larme coula sur son visage. Une enveloppe dépassait du carnet, elle s'en saisit : "Rendez-vous à 17h30, même endroit qu'il y a 7 ans et ne sois pas en retard!" Camille s'assit sur le lit et se mit à se remémorer cette journée… La sonnerie de son téléphone la sortit de sa rêverie : "Coucou ma chérie, c'était bien le hammam? Tu es rentrée ?"

Elle sourit et enfila la tenue. Elle se dirigea ensuite vers le miroir du couloir et prit une photo d'elle qu'elle envoya à Nicolas en guise de réponse…  Elle décida ensuite de regarder un épisode de sa série en goûtant. Vers 17h10, elle enfila ses ballerines et s'adonna à son petit rituel du miroir. Elle souleva sa jupe, baissa légèrement sa culotte et contempla ses fesses blanches avec un petit sourire. Elle se rappela qu'elle n'était pas si sereine lors de cette première entrevue, se demandant si elle allait pouvoir supporter la fessée, si l'ambiance ne serait pas pesante, s'il était aussi sympa en vrai… et si c'était un pervers… Mais là elle allait retrouver avec plaisir son Nicolas. Arrivée au bar, elle se rendit compte qu'elle avait oublié le carnet de correspondance, mais elle vit qu'il était déjà installé et se dit qu'après tout ça ferait un bon motif de fessée. Elle entra donc et alla rejoindre son chéri.

Jeune femme en jupe plissée noire et chemisier blanc (white blouse and black pleated skirt woman)

 

   - "Voilà ma petite étudiante modèle!"   

   - "Oui tu as vu, ça! Et merci pour les chaussures" dit-elle en tournant sur elle-même.

Elle s'assit, ils commandèrent une coupe de champagne et se remémorent joyeusement cette rencontre.

   - "Au fait, où est ton carnet de correspondance, Camille?" dit-il en prenant un ton solennel.

   - "Je l'ai oublié…" dit-elle d'une petite voix.

   - "Tu as oublié… Il y avait sans doute dedans quelques bêtises que tu voulais me cacher, Camille! Il va falloir que tu grandisses un peu et que tu fasses un peu plus attention! Je crois qu'une bonne fessée va te mettre un peu de plomb dans la tête!"

Camille persuadée que tout le bar avait entendu se mit à rougir et baissa les yeux n'osant croiser le regard de personne. Elle sentit soudain la main de Nicolas saisir la sienne et ils sortirent. Elle marchait la tête basse, légèrement en retrait et remarqua qu'il avait le même sac que lors de ce premier chemin. Ils arrivèrent chez eux et se dirigèrent vers le salon.

   - "Allez Camille, va me chercher ce carnet! Tu vas voir ce qui arrive aux petites étourdies!"

   - "Mais je n'ai pas fait exprès…" dit-elle d'une petite voix.

   - "Il ne manquerait plus que tu l'aies fait exprès! Dépêche-toi de me le ramener!" dit-il en lui donnant une tape sur les fesses.

Elle partit chercher le carnet, trainant un peu les pieds comme une gamine allant vers son châtiment. Nicolas disposa une chaise au milieu de la pièce et mit un peu de musique. Camille revint quelques instants plus tard avec le carnet. Il s'en saisit et l'ouvrit. Il avait noté dedans quelques fessées mémorables de sa belle.

   - "Hum je vois… Mademoiselle a volé des crêpes. Elle prétend aussi être un ange. Je vois qu'elle joue les malades… je crois que l'on va pouvoir rajouter une ligne! Mademoiselle est une petite étourdie!"   

L'évocation de ces fessées plongea Camille dans ses pensées. La main de Nicolas saisissant son poignet et l'entrainant sur ses genoux la ramena à la réalité.

   - "Drôle de sensation de se retrouver dans la même situation qu'il y a 7 ans, n'est-ce pas Camille?"

Elle tourna la tête et lui sourit. Une première gifle vint s'abattre sur ses fesses, il marqua une pause passa sa main dans ses cheveux et reprit la fessée. Après une vingtaine de bonnes claques, il souleva sa jupe révélant une teinte rosée au bas de sa culotte et continua la correction sur un rythme plus soutenu. Il s'arrêta et insinua ses doigts sous l'élastique de sa culotte. Camille tenta d'interposer sa main.

   - "Tu as aussi oublié qu'une fessée se donnait cul nu, Camille? Allez lève-toi et mains sur la tête"

Elle se releva et lui fit un petit regard complice. Il dégrafa sa jupe qui tomba à ses pieds et lui baissa sa petite culotte à mi-cuisse.

   - "Je crois que cet acte de rébellion va te coûter quelques coups de martinet supplémentaires, Camille."

Il sortit de son sac un martinet, le même martinet des sixties qu'il avait sorti la première fois, mais il y avait désormais une étiquette indiquant "Camille". Il prit ensuite la main de sa chérie qui vint reprendre sa place. La fessée repris tambour battant. Les fesses de Camille se paraient d'une belle teinte rouge. Sous le rythme soutenu, elle se mit rapidement à gigoter, Nicolas passa sa jambe au-dessus des siennes et lui bloqua sa main dans le dos. Il acheva son œuvre par des séries de claques données cinq par cinq, faisant gémir Camille. Il cessa alors la correction et se mit à caresser son derrière brûlant s'attardant sur son intimité et constatant qu'elle avait visiblement apprécié ce début de correction. Il l'invita ensuite à se relever.

   - "N'oublies pas que tu as gagné le martinet, Camille! Tu vas aller y réfléchir un peu au coin, tu repenseras aussi à toutes ces fessées que tu as reçues! Déshabille-toi que je puisse mieux admirer tes fesses rouges!"

Elle le regarda et leva simplement les bras avec un grand sourire. Il lui retira son chemisier et son soutien-gorge et l'accompagna au coin en lui laissant sa culotte aux chevilles et ses ballerines, ce qui lui conférait une démarche très enfantine. Il s'assit ensuite dans le fauteuil et alluma une cigarette en contemplant sa belle.

   - "Tu décores admirablement la pièce comme ça. Je devrais faire ça plus souvent!"

Camille se retourna et lui tira la langue. Il finit de fumer, se dirigea vers elle et lui mit une grande claque sur les fesses.

   - "Aiiiiiie!" s'exclama-t-elle.

Il lui prit ensuite la main et tous deux se dirigèrent vers la chambre.

   - "Tu oublies le martinet, fais attention à ce qui arrive aux étourdis!" dit Camille en lui faisant un clin d'œil.

Il s'en saisit, lui donna un petit coup en guise de réponse et ils reprirent leur chemin. Camille qui se souvenait elle aussi parfaitement de cette première fessée s'assit au bout du lit. Nicolas lui releva les jambes et retira sa culotte et ses ballerines, puis il fit glisser les lanières de cuir sur son corps dénudé. Elle écarta légèrement les jambes, dévoilant son sexe trempé et il commença un jeu de va et vient ponctué par de petits coups. Camille ferma les yeux et sa respiration commença à s'accélérer. Il lui resserra alors les jambes et lui donna une vingtaine de coups de martinet marquant ses fesses et ses cuisses. Il déposa alors ses jambes sur le lit, la regarda amoureusement et la fit jouir par d'habiles coups de langues. Il s'allongea ensuite à côté d'elle et ils restèrent un long moment les yeux dans les yeux.

   - "Je vais te mettre un peu de crème sur les fesses car j'ai dans l'idée que tu vas encore avoir des fessées ce weekend!"

Camille sourit et se mit sur le ventre sans poser de question, se disant simplement qu'elle avait pris la meilleure décision de sa vie en affrontant ses peurs et ses désirs il y a 7 ans…

Il lui massa longuement les fesses et elle s'endormit. Elle réapparut une heure plus tard dans le salon, nue, les fesses encore légèrement rouges, embrassa Nicolas et prit le carnet. Elle le feuilleta et constata qu'il était effectivement rempli de quelques histoires de fessées qu'elle avait reçues.

Jeune femme nue dedout les mains sur ses fesses rouges après avoir reçu une fessée (naked woman standing with her hands on red spanked bottom)

  
- "Merci d'être toujours là pour moi" dit-elle un peu émue.

Elle s'assit ensuite sur les genoux de Nicolas et le serra fort. Elle prit ensuite ses vêtements et partit dans la salle de bain. Ils passèrent une agréable soirée et se couchèrent assez rapidement compte tenu du programme du lendemain…

 

Partie 2 – La surprise

Le lendemain matin, Camille fût réveillée à 9h par le vingtième concerto pour piano de Mozart qui sortait de la chaîne-hifi. Surprise, elle regarda autour d'elle et s'aperçut qu'elle était seule. Elle trouva sur sa table de nuit un plateau avec un jus frais, des croissants et un thermos de café, ainsi qu'une enveloppe "Camille". Elle sourit et l'ouvrit.

"Bon anniversaire ma chérie, je t'attends en bas à 10h30, tes habits sont prêts. Jolie culotte 😉"

Elle regarda sur le petit banc et vit sa nouvelle culotte accompagnée d'un soutien-gorge coordonné, de bas noirs, d'une robe patineuse vintage bleu roi et des mêmes ballerines que la veille.

   - "Bon choix!" s'exclama-t-elle.

Elle déjeuna tranquillement, puis partit laver la vaisselle et ranger un peu l'appartement. Elle se dirigea ensuite vers la salle de bain pour prendre sa douche. Elle marqua une halte devant le miroir du couloir, baissa sa culotte de pyjama et constata que ses fesses étaient presque redevenues blanches comme neige. A 10h25, elle était prête. Elle mit une touche de Miss Dior et emporta le carnet au cas où! Elle descendit et trouva Nicolas qui l'attendait devant la voiture. Il lui déposa un bisou sur la joue et lui ouvrit la porte. Ils s'installèrent.

   - "Tu étais où? On va où?" demanda-t-elle sur un ton enjoué.

   - "Surprise et un achat à faire pour la route! Tiens!"

Il lui tendit un petit paquet mauve, Camille l'ouvrit et y découvrit un œuf vibrant ainsi qu'un ruban en satin noir.

   - "Oooh" fit-elle d'un air faussement choqué.

   - "Mets-le, ça t'occupera un peu sur la route!"

Camille rougit un peu, regarda autour d'elle et l'enfila dans sa culotte. Pendant ce temps Nicolas avait attrapé le ruban et s'affairait à lui bander les yeux.

   - "Heureusement que les vitres sont teintées" dit-elle en rigolant.

   - "Ok google, fais vibrer Camille"

Elle poussa un cri de surprise.

   - "Ok google, moins fooort"

   - "Il ne répond qu'à son maître mon lapin, tu sais bien! Ok google stop vibrations Camille! Bon ça marche! On peut y aller!"

Ils se mirent en route et discutèrent de tout et de rien. Au bout d'une cinquantaine de kilomètres, Nicolas prononça les mots magiques!

  - "Ok google fais vibrer Camille progressivement"

  - "Tu es vraiment trop vilain toi!"

  - "Moi?  mais nooon" dit-il en mettant le Boléro de Ravel pour accompagner l'onanisme forcé de sa belle.

Sa respiration commença doucement à s'accélérer Elle se contorsionnait délicatement sur son siège s'agrippant à la poignée de plus en plus fort au fur et à mesure que l'intensité des vibrations augmentait. Privée de la vue et totalement absorbée par le plaisir que lui procurait cet œuf, elle n'avait pas remarqué qu'il s'était arrêté et qu'il la regardait. Alors qu'entraient les violons, ses ondulations se transformèrent en spasmes de plus en plus puissants et Camille se mit à jouir.

  - "Un spectacle dont je ne me lasserais jamais!" dit-il en lui caressant la joue.

  - "Tu t'es arrêté, coquin! Moi je suis vidéeee! Il est comment dire, pfioou ce jouet! IL faudra que tu mettes l'appli sur mon téléphone!"

  - "Et c'est moi le coquin, Mademoiselle Camille!"

  - "Un vrai couple de pervers!" répondit-elle hilare.

Ils se remirent en route et Camille s'assoupit. Ils arrivèrent environ une heure après dans un petit village du Pays d'Auge, région qu'affectionnait particulièrement Camille qui y venait en vacances étant enfant.

  - "Réveille-toi, nous sommes arrivés" dit-il en lui tapotant doucement le bras.

Il l'aida à sortir de la voiture, fit quelques pas en lui tenant la main et lui défit son bandeau.

  - "Ah bah ça c'est une belle surprise" dit-elle découvrant une maison caractéristique de ce pays qu'elle aimait tant.

Elle l'embrassa tendrement et partit faire une petite inspection des lieux. Se rapprochant de la maison elle vit une camionnette de traiteur s'éloigner de la maison et Nicolas rentrer avec deux boîtes. Elle le rejoint dans la maison qui était décorée dans un style chic et sobre avec quelques meubles d'époques. Elle vit une valise ainsi que le sac qui contenait un martinet la veille et dont dépassait aujourd'hui, la cravache Hermès qu'elle lui avait offerte il y a quelques années.

  - "Tu es vraiment parfait!"

  - "Toi aussi, tu es parfaite" répondit-il en lui déposant un baiser sur le front.

  - "Dis, je peux enlever le jouet… je dois aller aux toilettes" dit-elle d'une petite voix.

Il lui sourit, la prit par la main et la conduisit dans la salle de bain. Il souleva sa robe et descendit sa culotte jusqu'à ses chevilles.

  - "Et ben! Heureusement que tu avais mis une protection!" dit-il en la regardant dans les yeux.

Camille devint rouge écarlate. Il retira doucement le jouet fiché dans son délicat abricot et lui mit une petite claque sur les fesses.

  - "J'arrête de t'embêter pour l'instant, je vais réchauffer le repas."

Il sortit de la pièce bientôt rejoint par sa belle. Ils déjeunèrent en évoquant des souvenirs d'enfance de Camille et ils découvrirent qu'ils auraient pu se croiser bien avant. Ils décidèrent d'aller faire une petite balade pour digérer. Camille se montra particulièrement espiègle et taquine comme elle savait le faire lorsqu'elle voulait gagner une fessée.

  - "Tu vas voir quand on va rentrer Camille, je vois que tu as déjà oublié ta fessée d'hier! Il va te falloir un petit rappel!"

Elle baissa la tête et le reste de la promenade se fit calmement. De retour à la maison, Nicolas la saisit par la main et l'entraina vers la chambre. Il s'assit sur le lit et la bascula sur ses genoux.

  - "Te voilà encore dans une fâcheuse position, Camille!" Dit-il en lui tapotant les fesses.

Camille qui était entrée dans sa bulle ne répondit pas et une première claque tomba sur sa robe. Il continua sur un rythme lent, fort et régulier. Le bruit de sa main sur le tissu rappelait un coup de fusil. Au bout d'une vingtaine de coups, il l'invita à se relever et la mit de dos. Il descendit la fermeture de sa robe et la fit tomber à ses pieds. Il se leva,  ramassa la robe et la déposa sur une chaise. Il courba ensuite Camille sur sous bras et se mit à lui caresser les fesses. Sa main glissa doucement vers son entrejambe pour lui frotter de manière appuyée le sexe. Il se remit à corriger ses fesses alternant claques douces et sévères, marquant des pauses pour s'occuper de nouveau de son minou, la faisant alors gémir légèrement. Il poursuivit ce ballet un long moment puis il baissa d'un coup sec sa culotte et commença à lui donner une véritable fessée. Il n'épargnait aucune zone, frappant en série plusieurs fois sur la même fesse avant de passer à l'autre, s'attardant sur le haut de ses cuisses. Camille se mit vite à entamer une sorte de danse, levant un pied; puis l'autre. Mais fermement maintenue elle n'avait aucun moyen d'échapper à la correction. Ses fesses étaient maintenant d'un rouge soutenu et la chaleur irradiait vers son bas ventre, laissant couler un peu de son nectar le long de sa cuisse. Nicolas termina la fessée par une série de claques données en plein centre de son fessier, augmentant encore son trouble. Les coups cessèrent et ils restèrent ainsi quelques instants. Nicolas glissa un doigt dans le sexe de sa belle et sourit satisfait. Il la déposa ensuite sur le lit, passa la main dans ses cheveux et la regarda amoureusement. Elle lui sourit. Il lui retira son soutien-gorge et sa culotte qui entravait ses chevilles. Il se mit à la caresser, remontant doucement de ses chevilles à sa nuque. Camille frissonnait. Il entreprit un léger mouvement de va-et-vient avec son index dans le sexe ruisselant de sa chérie l'amenant au bord de la jouissance, lui caressa la nuque et lui glissa à l'oreille :

   - "Je reviens."

Il resta à contempler un instant le corps de sa belle allongée, baigné dans un halo de lumière. Le rouge de ses fesses contrastant avec la pâleur se sa peau. Il aurait pu rester des heures ainsi, mais il se ressaisit et alla chercher la cravache… Il s'approcha d'elle, lui caressa la joue.

   - "Mets-toi à quatre pattes" lui murmura-t-il.

Elle sourit et se mit en position. Il la tira légèrement afin que ses pieds dépassent du lit puis ôta délicatement ses ballerines. Il glissa la cravache entre ses cuisses et lui donna quelques légers coups afin qu'elle écarte les jambes. La cravache navigua ensuite lentement le long de ses jambes, lui donnant la chair de poule… Il tapa gentiment avec la claquette sur la plante des pieds de sa belle. Camille, qui adorait et détestait à la fois cette punition, tenta de dérober. Il lui retira alors ses bas et attacha ses jambes ensemble avec l'un, puis lui l'invita à s'allonger et noua ses mains avec l'autre. Il reprit alors son ballet avec la cravache, la faisant descendre le long de son corps pour retrouver ses pieds qu'il malmena tendrement la faisant gémir et se tortiller. Il s'attarda ensuite sur ses fesses, ravivant le brasier par d'habiles coups disséminés çà et là. Camille, d'abord surprise, poussa de petits cris qui se transformèrent rapidement en gémissements. Ses fesses ayant repris une belle couleur écarlate, il déposa la cravache sur ses reins et insinua sa main entre ses cuisses. Il s'affaira sur son petit bouton la poussant de nouveau au bord de la jouissance. Il la détacha puis la retourna. Il la tira ensuite au bord du lit,  leva ses jambes qu'il attacha à ses bras et lui banda les yeux avec le ruban de satin qu'il avait gardé dans sa poche. Il reprit la cravache et la fit se balader sur sa poitrine, titillant ses tétons. La respiration de Camille se faisait de plus en plus forte et son bassin ondulait légèrement, il décida alors de descendre la cravache sur son sexe offert et ruisselant. Il le tapota d'abord doucement puis alterna avec des coups un peu plus forts et Camille atteignit l'orgasme qu'il lui refusait précédemment. Il continua quelques instants ce petit jeu. Il lui retira enfin ses liens et lui fit l'amour tendrement. Il retira son bandeau et ils restèrent un long moment à se regarder, profitant de la plénitude du moment, en silence.

Jeune femme allongée, déculottée les fesses rougies recevant la craavche sur les pieds (red bottomed girl laying on the bed and receiving crop on her feet)

 

   - "Je te le redis tu es parfait" dit Camille qui avait un peu retrouvé ses esprits.

   - "Ne dis pas de bêtises, tu as les fesses assez rouges. Allez viens on va prendre une douche si l'on veut sortir dîner!"

Camille se leva et l'accompagna dans la salle de bain admirant au passage la couleur de ses fesses. Ils sortirent ensuite dîner et le lendemain fût consacré à la balade et à l'achat de produits locaux. Ils rentrèrent à Paris plus amoureux que jamais.

 

Partie 3 : Epilogue ou comment un œuf provoque une fessée

 Ce lundi était un jour férié, mais Nicolas avait une réunion importante avec des investisseurs étrangers ce qui les avait poussés à rentrer dimanche. Camille profita de la matinée pour aller acheter un cadeau à Nicolas. Ils aimaient tous deux beaucoup l'art et elle avait repéré une jolie lithographie qu'il pourrait mettre dans son bureau. Elle déjeuna rapidement et décida de regarder un film en attendant le retour de son chéri. Il rentra vers 15h déposa ses affaires et l'embrassa.

   - "Je file terminer mon dossier et on va se promener, sois sage!" dit-il en se dirigeant dans son bureau.

   - "Chic!" répondit-elle enthousiaste.

   - "Puis j'ai un truc pour toi!"

Mais il s'était déjà enfermé dans son bureau. Son film se termina et Camille qui détestait attendre commençait à s'ennuyer. Elle repéra le téléphone de Nicolas sur la table et son œuf rangé dans sa boîte, posée sur la cheminée… Elle avait essayé, plus tôt dans la journée, de le configurer sur le sien sans y parvenir… Elle prit l'œuf et mit discrètement le téléphone dans sa poche. Elle passa devant le bureau.

   - "Je vais faire une petite sieste!" dit-elle à travers la porte.

   - "Là au moins tu seras sage!"

Camille, ravie de son stratagème se dirigea vers la chambre. Elle prit le soin de bien fermer la porte, mit la télé, retira ses chaussures et son jean et s'installa confortablement sur le lit. Elle baissa sa petite culotte bleu ciel, inséra l'œuf puis la remonta. Elle prit ensuite le téléphone dérobé et chercha l'application du plaisir. E   lle testa plusieurs programmes et en choisit un qui lui semblait particulièrement agréable. Alors que sa température grimpait doucement, elle entendit Nicolas râler.

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   - "Mais où j'ai mis ce foutu téléphone…"

Elle entendit des bruits puis des pas se rapprocher. Prise au piège, elle mit le téléphone sous son oreiller et fit semblant de dormir. Nicolas entra dans la chambre et chercha dans les poches de sa veste rangée sans faire de bruit. Camille ouvrit les yeux et regretta de ne pas y avoir pensé. Il se tourna vers elle.

   - "Tu n'as pas vu mon téléphone? Je le cherche depuis 10 minutes!"

   - "Moi heu non, ton téléphone? Je faisais la sieste." répondit-elle d'une voix mal assurée.

   - "Tu es sûre, Camille?" dit-il d'un ton suspicieux ayant remarqué une tâche d'humidité se détachant du bleu de sa culotte.

   - "Baaaah" bredouilla-t-elle.

   - "Une sieste coquine, peut-être non   , Mademoiselle? Ok Google. Fais vibrer Camille!"

Le bruit caractéristique de l'œuf s'échappa de son entrejambe. Elle baissa les yeux et se mit à rougir… Elle glissa sa main sous l'oreiller et tendit finalement le téléphone à Nicolas. Il arrêta la vibration manuellement.

   - "Tu peux préparer tes fesses Camille! Je passe mon coup de fil et je viens m'occuper de ton cas! Et crois-moi ça va chauffer! Tu enlèves cet œuf et tu te mets à genoux sur le lit, le front au mur! Ca te fera réfléchir!"

Camille, honteuse de s'être faite prendre comme une gamine s'exécuta sans un mot.

    - "Bien! Je reviens!" dit-il en quittant la pièce.

Elle s'en voulait… S'en voulait d'avoir menti, s'en voulait d'avoir pris le téléphone, s'en voulait de l'avoir laissé chercher. Elle qui aimait tant les fessées, redoutait pourtant un peu ces vraies fessées… Elle se sentait vraiment comme une gamine ayant fauté, attendant sa correction. Elle aurait préféré recevoir sa punition sur le champ. Cette attente, qui lui semblait interminable, faisait naître une petite boule le creux de son ventre…

Il revint une dizaine de minutes plus tard et s'assit sur le bord du lit.

   - "Viens par ici!" dit-il d'un ton ferme.

Camille se leva et se positionna devant lui, la tête basse.

   - "Alors non seulement tu es une petite vicieuse, mais en plus tu mens et tu te moques de moi Camille. Mademoiselle dit qu'elle va faire une sieste… Une sieste crapuleuse oui! Tu m'aurais dit je vais m'amuser un peu avec l'œuf!"

   - "Oui mais…" tenta-t-elle d'une petite voix.

   - "Ne m'interromps pas Camille! Tu m'aurais dit que tu allais t'amuser un peu avec l'œuf, j'aurais deviné où était mon téléphone! Et le pire, Camille, c'est que tu m'as laissé chercher alors que tu ne dormais pas! Il va falloir arrêter de te comporter comme une gamine! Tu as 32 ans maintenant! 32 ans et je vais devoir te punir comme si tu en avais 7!"

Camille tortillait ses mains derrière son dos, n'osant croiser le regard de Nicolas. Mais ses mots, sa voix ferme et la situation faisait grossir inexorablement la tâche d'humidité de sa culotte. Un savant mélange de honte et de désir.

   - "Crois-moi Camille, cette fessée va te faire passer l'envie de te moquer du monde!"

Sans lui laisser le temps de répondre, il baissa sa culotte jusqu'aux chevilles et la bascula sur ses genoux. Un premier coup tomba, elle poussa un petit cri car elle ne s’attendait pas que cela commence aussi vite. Il la fessa méthodiquement du haut des cuisses au haut des fesses, fesse après fesse. Les claques étaient raisonnablement fortes, sans excès. Mais il intensifia le rythme et la force des coups. Camille commença alors à geindre un peu. Nicolas augmenta encore un peu plus le rythme. Elle gigotait pour essayer d’atténuer la douleur, et ses jambes se mirent à battre l'air, mais rien n’y faisait. La fessée se poursuivait, implacable. Elle avait les larmes aux yeux,  gémissait et se trémoussait sur place. Elle entreprit alors de se protéger avec la main, mais il la saisit.

   - "Quand on reçoit encore des fessées pour son comportement à ton âge, Camille, on a au moins l'élégance de les prendre comme une grande fille."

Et la fessée continua de plus belle. Ses fesses piquaient horriblement et une chaleur diffuse se propageait en elle. Elle se laissait progressivement aller en serrant la main de son chéri plus en plus fort. Elle savait qu'elle avait été trop loin et que sa rédemption viendrait lorsqu'elle aurait cessé de lutter. Nicolas marqua une pause, regarda ses fesses écarlates et passa sa jambe au-dessus de celles de Camille. Il effleura ses fesses du bout des doigts et reprit la correction. Les claques pleuvaient par série de quatre, n'épargnant aucune partie de son derrière. Camille cessa de lutter et éclata en sanglot, il continua la fessée quelques instant en diminuant le rythme. Camille pleurait maintenant de manière incontrôlée comme une enfant.

   - "Pardooon bouhou bouhou"

Il cessa la punition, lui frictionna les fesses pour dissiper la chaleur puis la retourna et la prit dans ses bras. Elle continua à pleurer assise sur ses genoux, la tête sur son épaule. Il lui caressait les cheveux et lui frottait le dos pour la consoler.

Jeune femme ayant reçu une fessée, consolée assise sur les genoux de son fesseur qui lui fait un câlin (after spanking hug)

 

   - "C'est fini Camille, c'est tout, allez. Tu sais ce qui t'arrive quand tu mens."

   - "Boouii" répondit-elle en sanglotant.

Après de longues minutes, Camille les yeux encore embués de larmes, se leva.

   - "Je t'avais acheté un cadeau en plus, attends!" dit-elle la voix encore chevrotante.

   - "Un cadeau?"

Mais elle était déjà partie sans prendre la peine de remettre sa culotte. Elle s'arrêta devant le miroir et regarda ses fesses. Elle fût impressionnée par la couleur… sans doute l'une des plus grosses fessées qu'elle avait reçue. Il faut dire aussi que ses fesses n'étaient pas tout à fait remises des précédentes. Elle prit le paquet qu'elle avait caché sous le canapé et revint dans la chambre. Elle tendit le paquet à Nicolas et tandis qu'il l'ouvrait, elle alla se mettre au coin et s'y déshabilla.

   - "Deux décorations!" dit Camille qui avait retrouvé un peu de sa joie de vivre habituelle.

   - "Je ne sais pas laquelle je préfère, sans doute cette très belle litho!" dit-il en rigolant.

   - "Vilain!" cria Camille.

Il se leva et alla l'embrasser pour la remercier.

   - "Va te rafraîchir, je vais l'accrocher! Et régler l'œuf sur ton téléphone, ça t'évitera des problèmes!" dit-il en lui faisant un clin d'œil.

Camille se frotta les fesses et tous deux éclatèrent de rire!         

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