XVIII. Telle est prise qui croyait prendre
Histoire inspirée par une demoiselle qui aime mettre du sel dans le café de ses collègues et qui mériterait une bonne fessée!
Nicolas
avait la mauvaise habitude de rajouter systématiquement du sel dans
tous les plats, sans même les goûter. Cette attitude agaçait Camille
surtout quand elle avait passé du temps à cuisiner… Après des remarques
et des petites piques, elle décida qu'il était temps de passer à
l'action! Elle était d'humeur à faire des bêtises et se dit que les plus
vieilles blagues étaient les meilleures… Remplacer le sel par du sucre…
Ce
vendredi matin-là elle partit donc travailler toute guillerette bien
décidée à piéger son chéri. Pendant sa pause déjeuner elle se rendit
dans une sorte de bazar où elle acheta le même modèle de salière ainsi
que du sucre très fin. De retour à la maison elle prépara son stratagème
en veillant bien de mettre le niveau dans les récipients et disposa le
sucre sur la table et le sel dans sa poche. Nicolas ne tarda pas à
rentrer et tous deux passèrent à table. Comme à son habitude, il rajouta
un peu de sel. Camille fit une légère diversion et remit la véritable
salière en place. Il commença à manger et marqua un temps d'arrêt.
- "C'est bizarre on dirait que c'est sucré…" dit-il en bougonnant
- "Sucré?" répondit Camille avec l'air le plus étonné du monde. Elle prit une fourchette dans son assiette.
- "Bah non, c'est normal!"
Ils
finirent de manger. Nicolas faisant un peu la grimace et Camille se
retenant de rire. Le lendemain midi elle mit en place le même stratagème
de double échange.
- "C'est encore un peu sucré! Dis-moi Camille, tu n'aurais rien à voir là-dedans?"
- "Moi! Ça va être de ma faute si tu n'as plus de palais, il faut dire
qu'avec le sel que tu rajoutes sans cesse! Tiens, goûte c'est du sel!"
dit-elle en prenant un air quelque peu outré!
Nicolas goûta et rajouta un peu de sel sous l'œil réprobateur de Camille.
- "C'est quand même bizarre…" grommela t-il entre ses dents et bien décidé à surveiller de près la salière et sa belle…
Lors
du dîner la même scène se reproduisit mais il n'avait toujours pas de
preuve. Ils passèrent à soirée à regarder un vieux film du cinéma de
minuit et Camille partit se coucher bientôt rejointe par Nicolas. Il
déposa ses vêtements à côté de ceux de Camille et vit quelques grains
blancs sur son jean. Il les goûta, puis doucement prit le jean de
Camille et découvrit le pot aux roses… Il rejoint sa belle tout sourire…
Le lendemain matin il échangea discrètement les salières et partit
comme à son habitude chercher des croissants pour sa chérie. La matinée
se déroula paisiblement, vint l'heure du déjeuner. Il ajouta comme à son
habitude du sel, du vrai cette fois ci, et en remit même une fois de
plus avant que Camille n'intervertisse les salières et mangeât sans
sourciller. Camille bien que fort surprise essaya de rester impassible.
- "Je vais regarder un peu la télé après ce bon repas!" dit-il sur un
ton enjoué, trop peut-être aux yeux de Camille qui s'empressa de sortir
la deuxième salière afin de vérifier. Elle n'avait pas remarqué que
Nicolas l'observait du coin de la porte.
- "hum hum"
- "J'ai rien fait!" dit Camille saisie et cachant ses mains derrière son dos.
- "Tu n'as rien fait, alors comment se fait-il que tu sois toute rouge et que tu caches tes mains derrière ton dos?"
- "Je ne sais pas" répondit-elle d'une petite voix.
- "Montre-moi tes mains!"
- "Tu es sûr que tu veux voir?" dit-elle en adoptant une petite moue charmeuse.
- "Dépêche-toi Camille, on sait tous les deux comment ça finir! N'aggrave pas ton cas!"
- "Tu ne vas me punir pour si peu!"
Camille
donnait rarement dans le domaine de l'insolence mais sa dernière fessée
remontant à une dizaine de jours elle avait envie de s'amuser un peu!
- "Oh si Camille! Et même ici et tout de suite!"
Il
saisit Camille par la taille et d'un geste sec lui baissa son legging
et sa culotte et commença à lui claquer généreusement les fesses. Piquée
au vif elle laissa tomber les 2 salières au sol.
- "Regarde ce que tu as fait! Tu vas nettoyer tout ça et après je finirais de m'occuper de ton cas!"
Camille
baissa les yeux, pris le ramasse poussière et remonta sa culotte.
Nicolas s'approcha d'elle et lui descendit ses vêtements aux chevilles.
- "Je ne me rappelle pas t'avoir dit de remonter ta culotte!" dit-il redescendant ses vêtements au niveau des genoux.
Camille
qui était maintenant entrée dans sa bulle ne répondit rien et se mit à
balayer. Nicolas s'assit et contempla sa belle à l'ouvrage.
- "Très joli spectacle, tu devrais faire plus souvent le ménage comme ça!"
- "Mais" répondit-elle d'une voix basse en rougissant.
Elle finit de nettoyer et rangea la balayette.
- "J'ai fini." Dit-elle d'une petite voix en plaçant ses mains devant son sexe ce qui amusa beaucoup Nicolas.
- "Moi, je ne fais que commencer!"
Il
saisit la main de sa chérie et l'entraîna vers la chambre. Ses
vêtements baissés rendaient sa marche chaotique et enfantine contrastant
avec son élégant pas habituel de danseuse, renforçant ainsi sa honte.
Arrivés à destination, Nicolas s'assit sur le lit et la regarda dans les
yeux.
- "Tu trouves toujours cela aussi drôle ta petite blague
Camille? Je te rappelle que tu vas bientôt avoir 30 et pas 12! Que
crois-tu que penseraient tes amis s'ils savaient que tu viens d'être
traînée culotte aux chevilles pour recevoir une bonne fessée?"
Camille, de plus en plus troublée, baissa les yeux.
- "Tu étais beaucoup plus bavarde tout à l'heure, allez viens t'installer" dit-il en lui tendant la main.
Elle
s'allongea sur ses genoux, il lui releva les jambes afin d'ôter
complètement son legging et sa culotte. Il passa ensuite la main entre
les cuisses de sa belle afin de vérifier son état et la retira
satisfait, il commença ensuite par caresser doucement du bout des doigts
ses fesses tournant autour de son petit trou. Puis sans prévenir une
forte claque vint s'abattre sur les pauvres fesses de Camille, bientôt
suivie par des dizaines d'autres colorant rapidement son épiderme d'un
beau rouge. Elle se mit assez rapidement à gesticuler faisant glisser
ses socquettes sur le parquet de la chambre. Il marqua une pause,
caressant tendrement la nuque de son amie. Il glissa ensuite un doigt
dans le sexe de Camille qui poussa un petit gémissement.
- "On dirait que cette fessée te fait de l'effet, tu es trempée petite vicieuse!"
Ses
joues devinrent aussi rouges que ses fesses, une claque sur ses fesses
déjà endolories vint la sortir de ses pensées. Les frappes étaient
maintenant plus sèches et espacées s'imprégnant et résonnant en elle,
augmentant son trouble. Ce ballet s'interrompit comme il avait commencé,
il lui passa tendrement la main dans les cheveux, l'invita à se relever
et la regarda langoureusement. Elle lui sourit tendrement, puis il lui
retira son T-shirt et son soutien-gorge.
- "Va me chercher ton martinet, j'ai encore ton insolence de tout à l'heure à corriger."
Elle
fit une petite moue boudeuse pour la forme et partit dans l'armoire
chercher le martinet avec une étiquette "Camille", le tendit à Nicolas ,
et sans attendre d'instructions alla se placer à quatre pattes sur le
lit.
- "Mademoiselle est pressée, d'être fouettée à ce que je vois! Je vais peut-être la faire attendre un peu!"
- "Vilain!" s'écria-t-elle.
Il
fit glisser lentement les lanières sur son dos, puis parcourut
longuement ses fesses, s'insinua délicatement entre ses cuisses donnant
quelques légers coups, la respiration commençait doucement à
s'accélérer, Un claquement sec du cuir vint alors raviver la douleur de ses fesses. Camille, surprise, poussa un petit cri. Après une dizaine
de coups, il s'attarda de nouveau sur l'entrejambe de sa belle et se
remit à la fouetter vigoureusement. La sentant au bord de la limite
et satisfait de son derrière écarlate, il posa le martinet sur le lit
et s'assit près d'elle.
- "J'espère que ça te passera l'envie de faire des bêtises !" dit-il lui passant la main dans les cheveux.
Camille se tourna et lui sourit.
- "Tu sais qu'un moment je me suis quand même demandé ce qu'il se passait avec le sel!"
Camille se mit à rire.
- "Tu feras attention quand même hein avec le sel?" dit-elle d'une petite voix.
- "Promis" dit-il en lui déposant un baiser sur le front.
- "Allez, maintenant à la douche, jeune fille!" Je te rejoins et on ira faire prendre l'air à tes petites fesses!
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